Lait
Un contrat tripartite pour une rémunération juste de l’éleveur
Le mercredi 19 février, cinq influenceurs et leurs familles étaient invités sur l’exploitation d’Olivier Legrand, à Villeneuve-les-Genêts. Une journée organisée par Lidl, la Laiterie de Saint-Denis-de-l’Hôtel et Association des producteurs de lait du bassin centre pour présenter le contrat tripartite visant à avoir une juste rémunération du producteur, pour un lait garanti sans OGM.
«Le but de cette journée est de faire découvrir à des influenceurs le partenariat Lidl avec APLBC (Association des producteurs de lait du bassin centre) et LSDH (Laiterie de Saint-Denis-de-l’Hôtel) autour des engagements pris en commun sur une meilleure répartition de la valeur», indique Isabelle Schmidt, directrice de la communication chez Lidl.
Le mercredi 19 février, cinq influenceurs et leurs familles étaient invités sur l’exploitation d’Olivier Legrand, à Villeneuve-les-Genêts, où leur a été présenté le contrat tripartite autour du lait. Une journée qui a permis «de les sensibiliser sur le made in France et la qualité pour le côté Lidl. Et le message autour de la tripartite que l’on veut partager avec eux, avec nos partenaires. C’est l’idée que l’on est trois autour d’un même engagement qui est une rémunération plus juste pour l’éleveur», poursuit Isabelle Schmidt.
Du lait garanti sans OGM
Un contrat tripartite qui existe depuis 2016. «Au départ, c’était pour une rémunération et un lissage du prix», poursuit Henri Ragon, président de la section LSDH (Laiterie de Saint-Denis-de-l’Hôtel). «Puis, petit à petit, on est véritablement entré dans une relation tripartite, entre le distributeur, le producteur et la laiterie. Au fil du temps, cette relation, à la base humaine, est montée en gamme. On est passé sur du lait sans OGM et il y a eu un développement sur les volumes».
La collecte de lait se fait sur 16 départements. «Nous avons 425 producteurs pour 250 millions de litres de lait. Dans l’Yonne, nous avons pratiquement tous nos producteurs qui livrent du lait sans OGM», précise Jacques Sicot, en charge de la collecte de lait sur la LSDH et le suivi de la qualité du lait chez les producteurs.
En invitant des influenceurs, le but est de montrer la réalité qu’il y a derrière ce contrat tripartite et de faire connaître la démarche. «Ce retour de valeur à l’éleveur, on explique en quoi il est important. Et en quoi les consommateurs ont des attentes légitimes», reprend Henri Ragon. «Aujourd’hui, notre prix de base est de 370 € les 1 000 litres pour un lait sans OGM, qui est le mieux rémunérateur du marché».
Le contrat signé en 2016 est une réussite pour les trois parties. Ce dernier a été renouvelé l’année dernière pour trois ans. «On se rencontre régulièrement avec Lidl sur nos exploitations, à Rungis, à la LSDH, et on le fait vivre ce contrat. C’est une vraie relation», poursuit Henri Ragon. «Pour moi, en allant jusqu’au consommateur, comme avec cette journée, on va plus loin».
Le mercredi 19 février, cinq influenceurs et leurs familles étaient invités sur l’exploitation d’Olivier Legrand, à Villeneuve-les-Genêts, où leur a été présenté le contrat tripartite autour du lait. Une journée qui a permis «de les sensibiliser sur le made in France et la qualité pour le côté Lidl. Et le message autour de la tripartite que l’on veut partager avec eux, avec nos partenaires. C’est l’idée que l’on est trois autour d’un même engagement qui est une rémunération plus juste pour l’éleveur», poursuit Isabelle Schmidt.
Du lait garanti sans OGM
Un contrat tripartite qui existe depuis 2016. «Au départ, c’était pour une rémunération et un lissage du prix», poursuit Henri Ragon, président de la section LSDH (Laiterie de Saint-Denis-de-l’Hôtel). «Puis, petit à petit, on est véritablement entré dans une relation tripartite, entre le distributeur, le producteur et la laiterie. Au fil du temps, cette relation, à la base humaine, est montée en gamme. On est passé sur du lait sans OGM et il y a eu un développement sur les volumes».
La collecte de lait se fait sur 16 départements. «Nous avons 425 producteurs pour 250 millions de litres de lait. Dans l’Yonne, nous avons pratiquement tous nos producteurs qui livrent du lait sans OGM», précise Jacques Sicot, en charge de la collecte de lait sur la LSDH et le suivi de la qualité du lait chez les producteurs.
En invitant des influenceurs, le but est de montrer la réalité qu’il y a derrière ce contrat tripartite et de faire connaître la démarche. «Ce retour de valeur à l’éleveur, on explique en quoi il est important. Et en quoi les consommateurs ont des attentes légitimes», reprend Henri Ragon. «Aujourd’hui, notre prix de base est de 370 € les 1 000 litres pour un lait sans OGM, qui est le mieux rémunérateur du marché».
Le contrat signé en 2016 est une réussite pour les trois parties. Ce dernier a été renouvelé l’année dernière pour trois ans. «On se rencontre régulièrement avec Lidl sur nos exploitations, à Rungis, à la LSDH, et on le fait vivre ce contrat. C’est une vraie relation», poursuit Henri Ragon. «Pour moi, en allant jusqu’au consommateur, comme avec cette journée, on va plus loin».
