#agridemain
Fête des moissons : l’édition 2020 est lancée
La FDSEA et les JA ont lancé le week-end dernier la fête des moissons et des récoltes portées au niveau national par le réseau #agridemain. Deux rendez-vous se sont déroulés simultanément.
Le premier a eu lieu chez Antoine et Didier Guyon, installés à Mesves-sur-Loire. Une vingtaine de personnes se sont pressées à l'EARL des Beauregards pour s'informer notamment sur l'irrigation. L'exposition de vieux tracteurs a également attiré les curieux. Le soir, environ 60 personnes sont venues partager le repas de l'amitié. Dans le même temps, Muriel Harand et Romaric Gobillot ont ouvert les portes de leur ferme à près de 150 personnes.
C'est la quatrième fois que le couple organise une fête des moissons chez eux. Après la traditionnelle présentation de l'exploitation, des échanges autour de la défense des élevages locaux ont eu lieu. Les visiteurs présents ont exprimé leur incompréhension vis-à-vis de la filière qui ne rémunère pas les éleveurs à leur juste valeur. Ces derniers se sont dits prêts à débourser 20 centimes supplémentaires sur une portion pour aider les éleveurs. Sur ce sujet, Romaric Gobillot a insisté en disant auprès des visiteurs pour leur dire qu'ils étaient des consommateurs acteurs et qu'il fallait se poser la question de l'avenir du territoire. Il en a profité pour présenter la démarche éleveur et engagé, seule démarche qui garantit aux consommateurs que l'éleveur est bien rémunéré en fonction de ses coûts de production. Par ailleurs, les visiteurs ont apprécié l'animation autour de la lecture d'une étiquette de barquette de viande. Certains ont pu apprendre à reconnaître la provenance des animaux notamment le lieu d'abattage représenté par les deux premiers chiffres qui indique le département. Un repas burger réalisé avec des produits locaux a permis de prolonger la discussion.
C'est la quatrième fois que le couple organise une fête des moissons chez eux. Après la traditionnelle présentation de l'exploitation, des échanges autour de la défense des élevages locaux ont eu lieu. Les visiteurs présents ont exprimé leur incompréhension vis-à-vis de la filière qui ne rémunère pas les éleveurs à leur juste valeur. Ces derniers se sont dits prêts à débourser 20 centimes supplémentaires sur une portion pour aider les éleveurs. Sur ce sujet, Romaric Gobillot a insisté en disant auprès des visiteurs pour leur dire qu'ils étaient des consommateurs acteurs et qu'il fallait se poser la question de l'avenir du territoire. Il en a profité pour présenter la démarche éleveur et engagé, seule démarche qui garantit aux consommateurs que l'éleveur est bien rémunéré en fonction de ses coûts de production. Par ailleurs, les visiteurs ont apprécié l'animation autour de la lecture d'une étiquette de barquette de viande. Certains ont pu apprendre à reconnaître la provenance des animaux notamment le lieu d'abattage représenté par les deux premiers chiffres qui indique le département. Un repas burger réalisé avec des produits locaux a permis de prolonger la discussion.
