Conseil départemental
Convention
Le Conseil Départemental et la Chambre d'agriculture viennent de signer ensemble une convention de partenariat qui doit permettre le financement de plusieurs projets en faveur de l'agriculture nivernaise. L'exploitation de Julie Cadiot à Saincaize-Meauce a servi de cadre à cette signature.
20 000. C'est le montant accordée par le Conseil Départemental à la Chambre d'agriculture « pour venir en soutien des action en faveur d'une agriculture plus respectueuse de l'environnement ». Pour le département, il s’agit d’accompagner le développement de l’agriculture biologique et d’une alimentation de proximité dans la Nièvre, mais aussi d’attirer l’attention des consommateurs nivernais sur la disponibilité de produits agricoles de qualité, notamment bio, dans les différents circuits de distribution du département (vente directe à la ferme ou sur les marchés, magasins de producteurs, petites et moyennes surfaces, approvisionnement local dans la restauration collective).
Le programme de développement adopté en 2019 par la Chambre d’agriculture et intitulé « favoriser l’alimentation de proximité dans la Nièvre et accompagner les projets de conversion en agriculture bio » s’appuie sur trois axes : accompagner et développer la filière légumes de plein champ, accompagner les agriculteurs dans la connaissance de leurs prix d’équilibre en circuit court ( voir encadré) et accompagner et sécuriser la conversion en agriculture biologique (études technico-économiques). « L'enjeu de cette convention est de montrer que la Chambre d'agriculture a des compétences qu'elle met aux services de tous les agriculteurs. Le choix de se tourner vers le Conseil Départemental est naturel car je considère qu'il faut déjà travailler avec les acteurs locaux avant de vouloir chercher des financement ailleurs » a estimé Didier Ramet, le président de la Chambre d'agriculture. La stratégie de la chambre consulaire répond à la volonté des responsables d'OPA qui siègent en session. Ces dernier s'étant prononcés il y a un pour qu'ils y aient plus d'actions en faveur des circuits cours, de l'agrotourisme et de l'agriculture biologique. C'est désormais choses faite avec la signature de cette convention.
Une réponse à la demande des collective locales
Le premier acte de cette convention prévoir donc la la mise en place de projets de légumes de plein champ. Cela s'article en trois phase : d'une part étudier les différents projets qui se sont montés en dehors des frontières de la Nièvre. Deuxièmement, réaliser un diagnostic des forces et des faiblesses de la Nièvre sur le sujet. Enfin, accompagner les porteurs de projets. D'après nos informations, un groupe d'agriculteur serait déjà prêt à être accompagné par les services de la Chambre d'agriculture. Les porteurs de projets sont donc invités à se rapprocher de la Chambre d'agriculture pour en savoir plus sur les modalités d'accompagnement. « Notre projet s’inscrit pleinement dans la volonté des collectivités locales qui souhaitent trouver sur notre territoire plus de produits locaux » estime Martin Bloch, chef de service Economie des Entreprises à la Chambre d'agriculture.
Le programme de développement adopté en 2019 par la Chambre d’agriculture et intitulé « favoriser l’alimentation de proximité dans la Nièvre et accompagner les projets de conversion en agriculture bio » s’appuie sur trois axes : accompagner et développer la filière légumes de plein champ, accompagner les agriculteurs dans la connaissance de leurs prix d’équilibre en circuit court ( voir encadré) et accompagner et sécuriser la conversion en agriculture biologique (études technico-économiques). « L'enjeu de cette convention est de montrer que la Chambre d'agriculture a des compétences qu'elle met aux services de tous les agriculteurs. Le choix de se tourner vers le Conseil Départemental est naturel car je considère qu'il faut déjà travailler avec les acteurs locaux avant de vouloir chercher des financement ailleurs » a estimé Didier Ramet, le président de la Chambre d'agriculture. La stratégie de la chambre consulaire répond à la volonté des responsables d'OPA qui siègent en session. Ces dernier s'étant prononcés il y a un pour qu'ils y aient plus d'actions en faveur des circuits cours, de l'agrotourisme et de l'agriculture biologique. C'est désormais choses faite avec la signature de cette convention.
Une réponse à la demande des collective locales
Le premier acte de cette convention prévoir donc la la mise en place de projets de légumes de plein champ. Cela s'article en trois phase : d'une part étudier les différents projets qui se sont montés en dehors des frontières de la Nièvre. Deuxièmement, réaliser un diagnostic des forces et des faiblesses de la Nièvre sur le sujet. Enfin, accompagner les porteurs de projets. D'après nos informations, un groupe d'agriculteur serait déjà prêt à être accompagné par les services de la Chambre d'agriculture. Les porteurs de projets sont donc invités à se rapprocher de la Chambre d'agriculture pour en savoir plus sur les modalités d'accompagnement. « Notre projet s’inscrit pleinement dans la volonté des collectivités locales qui souhaitent trouver sur notre territoire plus de produits locaux » estime Martin Bloch, chef de service Economie des Entreprises à la Chambre d'agriculture.