FDSEA - JA
Les agriculteurs ne désarment pas
La FDSEA et les JA se sont une nouvelle fois mobilisés dans tout le département ce mardi 22 octobre pour dénoncer l’inaction des Pouvoirs publics. Des actions coups de poing ont eu lieu à Nevers, Château-Chinon et Clamecy

La FDSEA et les JA de la Nièvre étaient de nouveaux dans la rue ce mardi 22 octobre pour alerter l’opinion publique de l’inaction du gouvernement.
Cette action coup de poing répond à un appel national lancé par la FNSEA et les JA, qui s’étaient engagés lors de leur dernière mobilisation le 18 octobre, à retourner dans la rue en cas d’absence de réponse de la part du gouvernement : «Nous n’avons reçu aucune réponse des Pouvoirs publics après la précédente journée d’actions du 8 octobre, qui avait rassemblé 10 000 agriculteurs dans toute la France», expliquent la FNSEA et les JA dans un communiqué.
Une quarantaine d’actions ont eu lieu dans tout le pays. Ce fut le cas notamment dans notre département à Nevers, Château-Chinon et Clamecy.
L’appel à la mobilisation avait été lancé au alentour de 7 heures du matin devant la Préfecture et les sous-préfectures nivernaises.
Le cœur des revendications n’a pas varié depuis le début. FDSEA et JA dénoncent inlassablement une «stigmatisation permanente» des agriculteurs, des «distorsions de concurrence insurmontables», des «accords commerciaux déloyaux» (Ceta et Mercosur notamment) et des «revenus en berne». La pression est également forte en ce moment au sujet des Zones de Non Traitement et le débat sur la distance à respecter de la part des agriculteurs est loin d’être terminé.
Les slogans inscrits en blanc sur les bâches noirs résument à eux seuls le désarroi de la profession qui en appelle de nouveau à l’aide du gouvernement et plus particulièrement au chef de l’État : «Macron, répond-nous !», «# Sauve ton paysan» ou encore «Macron sauve tes paysans !» sont quelques-uns des messages forts lancés par les agriculteurs ce mardi matin.
L’objectif de cette nouvelle matinée d’action est de maintenir la pression sur le gouvernement au moment même où les négociations commerciales dans le cadre des États Généraux de l’Alimentation continuent.
Les agriculteurs attendent désormais des réponses concrètes de la part d’Emmanuel Macron et n’excluent pas de se réunir de nouveau au mois de novembre.
Cette action coup de poing répond à un appel national lancé par la FNSEA et les JA, qui s’étaient engagés lors de leur dernière mobilisation le 18 octobre, à retourner dans la rue en cas d’absence de réponse de la part du gouvernement : «Nous n’avons reçu aucune réponse des Pouvoirs publics après la précédente journée d’actions du 8 octobre, qui avait rassemblé 10 000 agriculteurs dans toute la France», expliquent la FNSEA et les JA dans un communiqué.
Une quarantaine d’actions ont eu lieu dans tout le pays. Ce fut le cas notamment dans notre département à Nevers, Château-Chinon et Clamecy.
L’appel à la mobilisation avait été lancé au alentour de 7 heures du matin devant la Préfecture et les sous-préfectures nivernaises.
Le cœur des revendications n’a pas varié depuis le début. FDSEA et JA dénoncent inlassablement une «stigmatisation permanente» des agriculteurs, des «distorsions de concurrence insurmontables», des «accords commerciaux déloyaux» (Ceta et Mercosur notamment) et des «revenus en berne». La pression est également forte en ce moment au sujet des Zones de Non Traitement et le débat sur la distance à respecter de la part des agriculteurs est loin d’être terminé.
Les slogans inscrits en blanc sur les bâches noirs résument à eux seuls le désarroi de la profession qui en appelle de nouveau à l’aide du gouvernement et plus particulièrement au chef de l’État : «Macron, répond-nous !», «# Sauve ton paysan» ou encore «Macron sauve tes paysans !» sont quelques-uns des messages forts lancés par les agriculteurs ce mardi matin.
L’objectif de cette nouvelle matinée d’action est de maintenir la pression sur le gouvernement au moment même où les négociations commerciales dans le cadre des États Généraux de l’Alimentation continuent.
Les agriculteurs attendent désormais des réponses concrètes de la part d’Emmanuel Macron et n’excluent pas de se réunir de nouveau au mois de novembre.