Prix de la viande
Le travail commence
La loi alimentation issue des Égalim a fixé le cadre d’un nouveau modèle de relations commerciales entre éleveurs et acheteurs de bovins viande : Contractualisation et reconnaissance des coûts de production occupent une place centrale dans le dispositif que la section bovine de la FDSEA impulse depuis quelques jours auprès des éleveurs. Rapide tour de l’initiative lancée par Emmanuel Bernard, président de section bovine FDSEA.

À l’occasion de la réunion tenue le 11 juin dernier à Rouy par la section bovine de la FDSEA, les éleveurs présents ont décidé d’user des opportunités ouvertes par la loi Égalim pour travailler à la mise en place de relations contractuelles avec leurs acheteurs, permettant la prise en compte des coûts de production dans la constitution du prix «en marche avant».
Des contrats types seront mis à la disposition des éleveurs pour inciter leurs acheteurs à appliquer pleinement les dispositions prévues par la loi dans les prochaines semaines. Ces derniers sont en cours de préparation.
La filière n’étant pas aussi concentrée que dans certaines productions, ce travail ne pourra réellement débuter qu’après la réalisation d’un état des lieux permettant d’identifier l’ensemble des acteurs commerciaux intervenant auprès des éleveurs du département sur le marché du gras.
Nous vous proposons ainsi de prendre quelques minutes pour répondre à un court questionnaire visant à diagnostiquer la situation et à identifier les éleveurs avec lesquels le travail de reconnaissance du juste prix de la viande pourra être conduit.
Le questionnaire est accessible sur Internet à l’adresse suivante : https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSfwPpxS_Cic9etNY3yyQDu8lMqSOd9kq68JfycV-F-sdkqC5Q/viewform?vc=0&c=0&w=1. La FDSEA peut également vous faire parvenir ce questionnaire par mail ou SMS. Il est enfin accessible sur la page Facebook de la fédération.
Ne minimisez aucunement l’effet qu’une prise en main réelle du sujet par les éleveurs pourrait avoir sur les relations commerciales avec vos acheteurs et in fine sur les prix de la viande. La filière vous dira le contraire et vous entretiendra dans l’idée que tout est perdu et que rien ne peut changer… Rien ne serait d’ailleurs plus confortable pour vos acheteurs, vos négociants, vos coops, de vous voir rester sagement à la maison et continuer à «larguer» vos animaux sans broncher, parce que la sécheresse ou les marchés dégradés prennent beaucoup d’entre nous à la gorge sur le plan financier. Rester à la maison et se résigner, ou se prendre en main et avancer… La section bovine est là pour vous y aider.
Utilisons tous les leviers offerts par la loi pour contraindre un aval «à la masse» que le travail des éleveurs à un vrai prix.
Syndicalement,
Des contrats types seront mis à la disposition des éleveurs pour inciter leurs acheteurs à appliquer pleinement les dispositions prévues par la loi dans les prochaines semaines. Ces derniers sont en cours de préparation.
La filière n’étant pas aussi concentrée que dans certaines productions, ce travail ne pourra réellement débuter qu’après la réalisation d’un état des lieux permettant d’identifier l’ensemble des acteurs commerciaux intervenant auprès des éleveurs du département sur le marché du gras.
Nous vous proposons ainsi de prendre quelques minutes pour répondre à un court questionnaire visant à diagnostiquer la situation et à identifier les éleveurs avec lesquels le travail de reconnaissance du juste prix de la viande pourra être conduit.
Le questionnaire est accessible sur Internet à l’adresse suivante : https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSfwPpxS_Cic9etNY3yyQDu8lMqSOd9kq68JfycV-F-sdkqC5Q/viewform?vc=0&c=0&w=1. La FDSEA peut également vous faire parvenir ce questionnaire par mail ou SMS. Il est enfin accessible sur la page Facebook de la fédération.
Ne minimisez aucunement l’effet qu’une prise en main réelle du sujet par les éleveurs pourrait avoir sur les relations commerciales avec vos acheteurs et in fine sur les prix de la viande. La filière vous dira le contraire et vous entretiendra dans l’idée que tout est perdu et que rien ne peut changer… Rien ne serait d’ailleurs plus confortable pour vos acheteurs, vos négociants, vos coops, de vous voir rester sagement à la maison et continuer à «larguer» vos animaux sans broncher, parce que la sécheresse ou les marchés dégradés prennent beaucoup d’entre nous à la gorge sur le plan financier. Rester à la maison et se résigner, ou se prendre en main et avancer… La section bovine est là pour vous y aider.
Utilisons tous les leviers offerts par la loi pour contraindre un aval «à la masse» que le travail des éleveurs à un vrai prix.
Syndicalement,