Marault
Du nouveau pour l’Acropole du Marault
L’inauguration du Fab Lab est l’occasion de s’intéresser plus en détails aux projets à la Ferme du Marault.

Ce n’est plus une coquille vide. Depuis plus d’un an, les projets ne manquent pas à la Ferme du Marault pour redonner vie à ce lieu qui a fait les belles heures de la race charolaise. L’ambition du Conseil Départemental, propriétaire des lieux, est de rapprocher le grand public du monde agricole. Pour ce faire, l’Acropole du Marault offre la possibilité de louer ses espaces pour des séminaires, des salons professionnels ou des rencontres privées. Pas moins de cinq salles sont disponibles à la location avec entre autre : deux salles de restauration, un espace traiteur, une salle de réunion, un ring et des espaces extérieurs.
Pour gérer ce dossier, l’association a récemment fait appel à Quentin Le Borlot dont la mission est de promouvoir le site, communiquer sur les actions et accompagner les porteurs de projets. «L’idée est de proposer à terme une offre globale de location» explique Quentin Le Borlot. Le deuxième volet de la Ferme du Marault est l’espace expérimentation. L’objectif est de tester sur deux plateformes expérimentales, les alternatives aux modes de cultures agricoles actuelles. Allongement des rotations, essais de variétés de céréales à paille ou encore essais de fertilisation avec des biostimulants sont quelques-uns des tests lancés pour la partie culture. Du côté de l’élevage, des essais de pâturages tournants et d’engraissement à l’herbe sont en cours. Ces résultats serviront d’outil de sensibilisation pour les agriculteurs mais aussi les établissements d’enseignement agricole.
Un volet agroécologie en voie de développement
Mutualiser les compétences agricoles entre la société civile et le monde agricole est l’objectif de ce volet agroécologie. L’idée est de trouver collectivement des alternatives et des solutions innovantes. C’est la philosophie du projet porté par Maxime Toriel, responsable Agroécologie à l’Agropôle du Marault. «L’idée est de montrer comment on réalise un jardin à partir d’une feuille blanche. La clef d’entrée c’est la permaculture au sens large. Plusieurs ateliers sont proposés : récupération de l’eau de pluie, plantation de haie mellifère ou encore l’aquaponie. Mon objectif est de permettre aux gens de repartir avec des bonnes idées à tester chez soi» explique Maxime Toriel. Ce dernier aimerait établir des ponts entre particuliers et professionnels afin de faire vivre cette espace. Enfin à côté du jardin, un nouvel espace test maraîcher à vue le jour. Il doit permettre à un porteur de projet de s’essayer à l’activité maraîchère. À l’image de ce qui a été fait dans le quartier de la Baratte à Nevers, ce lieu permet d’acquérir de l’expérience pratique, de mûrir un projet professionnel sans porter d’investissement matériel important et sans recourir aux aides à l’installation. Pour l’heure, le processus de recrutement de ce maraîcher ou maraîchère est toujours en cours.
Pour gérer ce dossier, l’association a récemment fait appel à Quentin Le Borlot dont la mission est de promouvoir le site, communiquer sur les actions et accompagner les porteurs de projets. «L’idée est de proposer à terme une offre globale de location» explique Quentin Le Borlot. Le deuxième volet de la Ferme du Marault est l’espace expérimentation. L’objectif est de tester sur deux plateformes expérimentales, les alternatives aux modes de cultures agricoles actuelles. Allongement des rotations, essais de variétés de céréales à paille ou encore essais de fertilisation avec des biostimulants sont quelques-uns des tests lancés pour la partie culture. Du côté de l’élevage, des essais de pâturages tournants et d’engraissement à l’herbe sont en cours. Ces résultats serviront d’outil de sensibilisation pour les agriculteurs mais aussi les établissements d’enseignement agricole.
Un volet agroécologie en voie de développement
Mutualiser les compétences agricoles entre la société civile et le monde agricole est l’objectif de ce volet agroécologie. L’idée est de trouver collectivement des alternatives et des solutions innovantes. C’est la philosophie du projet porté par Maxime Toriel, responsable Agroécologie à l’Agropôle du Marault. «L’idée est de montrer comment on réalise un jardin à partir d’une feuille blanche. La clef d’entrée c’est la permaculture au sens large. Plusieurs ateliers sont proposés : récupération de l’eau de pluie, plantation de haie mellifère ou encore l’aquaponie. Mon objectif est de permettre aux gens de repartir avec des bonnes idées à tester chez soi» explique Maxime Toriel. Ce dernier aimerait établir des ponts entre particuliers et professionnels afin de faire vivre cette espace. Enfin à côté du jardin, un nouvel espace test maraîcher à vue le jour. Il doit permettre à un porteur de projet de s’essayer à l’activité maraîchère. À l’image de ce qui a été fait dans le quartier de la Baratte à Nevers, ce lieu permet d’acquérir de l’expérience pratique, de mûrir un projet professionnel sans porter d’investissement matériel important et sans recourir aux aides à l’installation. Pour l’heure, le processus de recrutement de ce maraîcher ou maraîchère est toujours en cours.