Vivea Bourgogne
Un bilan formation mitigé au regard du potentiel
En 2013, Vivea a financé en Bourgogne 82 500 heures stagiaire pour environ 1 675 000 € répartis sur plus de 850 formations. 5620 agriculteurs, viticulteurs, paysagistes et forestiers bourguignons se sont ainsi formés dans l’année, ce qui représente environ 23% des contributeurs de Vivea. Ce taux d’accès, toujours en croissance cache néanmoins un recul pour les formations autres que Certiphyto, avec près de 8 900 heures stagiaires en moins qu’en 2012 pour ces formations. Bilan donc mitigé puisque le comité régional aurait également souhaité engager l’intégralité de l’enveloppe dont il disposait en 2013, ce qui n’a pas été le cas.

46% des heures stagiaires en 2013 ont concerné des formations Certiphyto. Puis viennent les formations techniques (pour 19%) et les formations liées à l’environnement et au bien-être animal (13%). Vivea investit également fortement dans l’installation puisque 10% des heures financées en Bourgogne sont destinées au public des créateurs et repreneurs d’entreprise et des cédants.
Le comité Vivea de Bourgogne a fixé ses orientations pour les trois années à venir et a finalisé son plan d’action 2014, transmis aux dispensateurs de formations en février 2014 et disponible sur www.vivea.fr/region/bourgogne.
Présidente du comité régional, Christine Boissard, estime que «la formation doit encore plus qu’hier accompagner les agriculteurs pour qu’ils anticipent les évolutions du contexte agricole. C’est pourquoi, nous souhaitons que tous les agriculteurs qui s’interrogent sur l’avenir des aides puissent suivre des formations sur les impacts des évolutions de la Pac. Nous mettrons aussi l’accent cette année sur la sécurisation des exploitations en incitant les formateurs à faire prendre du recul aux stagiaires sur les différents risques encourus». Les élus des commissions départementales de Vivea se sont également fixé pour objectif d’améliorer l’utilisation et l’efficacité des fonds Vivea et des cofinancements Feader et FSE dont dispose la Bourgogne en stimulant les synergies entre les centres de formation et avec les organisations professionnelles.
Un effort particulier est également demandé aux centres de formation pour la mise en place de formations à destination des viticulteurs, qui se forment en moyenne moins que les autres filières. Le comité régional veillera à ce que de nouvelles formations soient proposées aux viticulteurs et met à disposition les moyens nécessaires pour assurer des formations qui répondent aux besoins de la profession avec des intervenants de qualité et un coût résiduel aux stagiaires limité.
Les formations à destination des éleveurs seront aussi favorisées et notamment les formations sur les coûts de production en élevage allaitant et laitier.
Enfin, de nouvelles formations, sur et avec l’utilisation des technologies de l’information, devraient voir le jour. L’objectif est à la fois d’améliorer l’usage professionnel des TIC par les agriculteurs mais aussi de les accompagner dans la construction d’une stratégie de communication sur le web 2.0.
Autant de chantiers et de sujets sur lesquels les élus et les conseillères Vivea sont à disposition et à l’écoute des agriculteurs, des centres de formation et des organisations professionnelles.
Avec une enveloppe qui permet d’engager près de 3 millions d’euros en Bourgogne pour 2014, dont 2,3 millions d’euros réservés aux formations autres que celles préparant au certificat individuel, la Bourgogne dispose de réelles opportunités pour accompagner les projets de tous les entrepreneurs du vivant. Il ne reste, individuellement et collectivement, qu’à s’en saisir !
Le comité Vivea de Bourgogne a fixé ses orientations pour les trois années à venir et a finalisé son plan d’action 2014, transmis aux dispensateurs de formations en février 2014 et disponible sur www.vivea.fr/region/bourgogne.
Présidente du comité régional, Christine Boissard, estime que «la formation doit encore plus qu’hier accompagner les agriculteurs pour qu’ils anticipent les évolutions du contexte agricole. C’est pourquoi, nous souhaitons que tous les agriculteurs qui s’interrogent sur l’avenir des aides puissent suivre des formations sur les impacts des évolutions de la Pac. Nous mettrons aussi l’accent cette année sur la sécurisation des exploitations en incitant les formateurs à faire prendre du recul aux stagiaires sur les différents risques encourus». Les élus des commissions départementales de Vivea se sont également fixé pour objectif d’améliorer l’utilisation et l’efficacité des fonds Vivea et des cofinancements Feader et FSE dont dispose la Bourgogne en stimulant les synergies entre les centres de formation et avec les organisations professionnelles.
Un effort particulier est également demandé aux centres de formation pour la mise en place de formations à destination des viticulteurs, qui se forment en moyenne moins que les autres filières. Le comité régional veillera à ce que de nouvelles formations soient proposées aux viticulteurs et met à disposition les moyens nécessaires pour assurer des formations qui répondent aux besoins de la profession avec des intervenants de qualité et un coût résiduel aux stagiaires limité.
Les formations à destination des éleveurs seront aussi favorisées et notamment les formations sur les coûts de production en élevage allaitant et laitier.
Enfin, de nouvelles formations, sur et avec l’utilisation des technologies de l’information, devraient voir le jour. L’objectif est à la fois d’améliorer l’usage professionnel des TIC par les agriculteurs mais aussi de les accompagner dans la construction d’une stratégie de communication sur le web 2.0.
Autant de chantiers et de sujets sur lesquels les élus et les conseillères Vivea sont à disposition et à l’écoute des agriculteurs, des centres de formation et des organisations professionnelles.
Avec une enveloppe qui permet d’engager près de 3 millions d’euros en Bourgogne pour 2014, dont 2,3 millions d’euros réservés aux formations autres que celles préparant au certificat individuel, la Bourgogne dispose de réelles opportunités pour accompagner les projets de tous les entrepreneurs du vivant. Il ne reste, individuellement et collectivement, qu’à s’en saisir !