Classement des animaux nuisibles
Pensez à faire des déclarations de dégâts
Le classement de certains animaux «nuisible», dépend de procédures administratives bien définies. La première étape : une identification et un chiffrage précis des dégâts dus à chaque espèce.
Chaque année, les cultures, prairies et récoltes agricoles subissent des dégâts importants de divers animaux : corbeaux freux, étourneaux, blaireaux, …
Il existe plusieurs procédures administratives pour classer ces animaux nuisibles et pouvoir ainsi réguler leur population et limiter les dégâts.
Les espèces susceptibles d’être classées nuisibles sont les suivantes : le chien viverrin, le vison d’Amérique, le raton laveur, le ragondin, le rat musqué, la bernache du Canada ; la belette, la fouine, la martre, le putois, le renard, le corbeau freux, la corneille noire, la pie bavarde, le geai des chênes, l’étourneau sansonnet ; le lapin de garenne, et le pigeon ramier.
Pour cela, le Préfet doit justifier et démontrer que l’espèce en question est répandue de façon significative dans le département et que, compte tenu des caractéristiques géographiques, économiques et humaines de celui-ci, sa présence est susceptible de porter atteinte notamment à la santé et à la sécurité publique, à la flore et à la faune, aux activités agricoles, forestières ou aquacoles.
C’est pourquoi il est indispensable que les agriculteurs déclarent auprès des services de la DDT les dégâts subis, en précisant l’espèce, la période de dégât, le montant du préjudice, ... Un formulaire type est disponible sur le site de la fdsea : www.fdsea21.fr (rubrique faune sauvage - nuisibles).
Il existe plusieurs procédures administratives pour classer ces animaux nuisibles et pouvoir ainsi réguler leur population et limiter les dégâts.
Les espèces susceptibles d’être classées nuisibles sont les suivantes : le chien viverrin, le vison d’Amérique, le raton laveur, le ragondin, le rat musqué, la bernache du Canada ; la belette, la fouine, la martre, le putois, le renard, le corbeau freux, la corneille noire, la pie bavarde, le geai des chênes, l’étourneau sansonnet ; le lapin de garenne, et le pigeon ramier.
Pour cela, le Préfet doit justifier et démontrer que l’espèce en question est répandue de façon significative dans le département et que, compte tenu des caractéristiques géographiques, économiques et humaines de celui-ci, sa présence est susceptible de porter atteinte notamment à la santé et à la sécurité publique, à la flore et à la faune, aux activités agricoles, forestières ou aquacoles.
C’est pourquoi il est indispensable que les agriculteurs déclarent auprès des services de la DDT les dégâts subis, en précisant l’espèce, la période de dégât, le montant du préjudice, ... Un formulaire type est disponible sur le site de la fdsea : www.fdsea21.fr (rubrique faune sauvage - nuisibles).
