UPVY
La nécessité de communiquer
L’image des Grandes cultures est souvent méconnue du grand public, ou faussée parfois. Une situation que la filière céréalière souhaite corriger, en multipliant les actions de communication.
Les chiffres de la filière céréalière sont éloquents : 1er producteur européen, 450 000 emplois générés, 1 tonne sur 2 exportée, 500 entreprises de transformation, 70 millions de tonnes produites chaque année…
Autant de données économiques le plus souvent insoupçonnées des consommateurs, même si les Français sont 77% à avoir une opinion positive des producteurs de céréales nationaux et presque autant, à considérer que les produits céréaliers font partie intégrante du patrimoine culinaire de leur région (Sondage ViaVoice Passion Céréales de juin 2016) C’est à partir de ce constat, que l’union des Productions Végétales de l’Yonne, a décidé lors de son dernier Conseil d’administration, d’ouvrir au grand public des structures de collecte dès l’an prochain. Une opération qui pourrait se dérouler en marge des traditionnelles journées Fermes et Caves Ouvertes, afin de lui donner la plus grande audience possible.
C’est dans cette optique que l’UPVY a invité lors de son Assemblée générale du 21 juin dernier, des représentants de Passion Céréales, organisme créé en 2006 pour faire connaître toutes les strates de la filière céréalière, du métier de producteur aux produits issus de céréales. Une stratégie sur plusieurs échelles, visant notamment à faire savoir combien un exploitant, un silo, voire un département, nourrit de personnes, ou l’effet positif des cultures pour le captage des gaz à effet de serre. Il a été rappelé durant l’AG, que Passion Céréales pouvait aider à la mise en place de tout évènement visant à ouvrir un lieu au public, que ce soit au niveau de la documentation fournie ou de l’organisation.
L’Assemblée générale aura été l’occasion de revenir sur le CAF s’étant déroulé la veille au soir, au travers notamment de quelques chiffres inquiétants, puisque selon le Centre de gestion, plus de 400 exploitations icaunaises sont aujourd’hui en situation de risque élevé, contre 150, il y a quatre ans. Si la crise économique ne touche pas que les éleveurs, la difficulté aujourd’hui est de détecter en amont les agriculteurs concernés, du fait de signes extérieurs moindres en grandes cultures qu’en élevage.
Autant de données économiques le plus souvent insoupçonnées des consommateurs, même si les Français sont 77% à avoir une opinion positive des producteurs de céréales nationaux et presque autant, à considérer que les produits céréaliers font partie intégrante du patrimoine culinaire de leur région (Sondage ViaVoice Passion Céréales de juin 2016) C’est à partir de ce constat, que l’union des Productions Végétales de l’Yonne, a décidé lors de son dernier Conseil d’administration, d’ouvrir au grand public des structures de collecte dès l’an prochain. Une opération qui pourrait se dérouler en marge des traditionnelles journées Fermes et Caves Ouvertes, afin de lui donner la plus grande audience possible.
C’est dans cette optique que l’UPVY a invité lors de son Assemblée générale du 21 juin dernier, des représentants de Passion Céréales, organisme créé en 2006 pour faire connaître toutes les strates de la filière céréalière, du métier de producteur aux produits issus de céréales. Une stratégie sur plusieurs échelles, visant notamment à faire savoir combien un exploitant, un silo, voire un département, nourrit de personnes, ou l’effet positif des cultures pour le captage des gaz à effet de serre. Il a été rappelé durant l’AG, que Passion Céréales pouvait aider à la mise en place de tout évènement visant à ouvrir un lieu au public, que ce soit au niveau de la documentation fournie ou de l’organisation.
L’Assemblée générale aura été l’occasion de revenir sur le CAF s’étant déroulé la veille au soir, au travers notamment de quelques chiffres inquiétants, puisque selon le Centre de gestion, plus de 400 exploitations icaunaises sont aujourd’hui en situation de risque élevé, contre 150, il y a quatre ans. Si la crise économique ne touche pas que les éleveurs, la difficulté aujourd’hui est de détecter en amont les agriculteurs concernés, du fait de signes extérieurs moindres en grandes cultures qu’en élevage.