Fête des moissons d’antan
Une journée dans le siècle d’avant
Dimanche 11 août a eu lieu la 34e édition de la fête des moissons d’antan, au moulin de Vanneau, à Saints-en-Puisaye. Environ 550 personnes se sont rendues sur place pour voir comment les paysans travaillaient la terre entre le XIXe siècle et le début du XXe.

La fête des moissons d’antan, de Saints-en-Puisaye, est une parenthèse dans le temps qui perdure depuis maintenant 34 éditions. Et dans un lieu chargé d’histoire, le moulin de Vanneau, l’association écomusée de Puisaye fait revivre au public l’art de travailler la terre, comme c’était le cas au XIXe siècle jusqu’à la première moitié du XXe siècle.
Dimanche 11 août, pas moins de 550 personnes étaient présentes pour ce bon dans le temps. «Ce qui est important pour nous, c’est que ce soit une journée de partage, où l’on peut échanger avec les gens», confie Yves Perelli, président de l’association écomusée de Puisaye, organisateur de la fête. Ce dernier a notamment animé des visites du moulin. «Il est beaucoup plus ancien historiquement mais mécaniquement, tel qu’il est présenté là, c’est le reflet de ce qu’il était au début du XXe siècle».
Les visiteurs se testent aux travaux des champs
Une visite du marais ou encore une balade dans la ferme à caresser ânes et chevaux, étaient très appréciées des visiteurs. Et les enfants n’étaient pas en reste. Entre les jeux en extérieur, les tours en calèche et l’activité de fabrication de pain avec Émilie Pinon, tous avaient de quoi être satisfaits. Des ateliers de construction de jouets en bois, de vannerie sauvage et de soins aux animaux de la ferme étaient également possibles. Ainsi qu’une démonstration d’un entraînement de chiens de troupeaux
«Il y a aussi eu des travaux dans les champs, la fenaison, le fauchage du blé», indique Yves Perelli. Des activités pour certaines partagées avec le public qui a pu participer et tester les habitudes des paysans d’autrefois, comme la conduite d’un canadien dans les champs ou le battage au fléau.
Aussi, des démonstrations de la trépigneuse et de la machine à vapeur ont eu lieu. «Tout tourne autour des battages à l’ancienne», explique Yves Perelli. «Sans oublier la gastronomie locale car on sert que des produits qui sont transformés par nous-même pour permettre aux gens de découvrir les spécialités de notre vallée», conclut-il.
Dimanche 11 août, pas moins de 550 personnes étaient présentes pour ce bon dans le temps. «Ce qui est important pour nous, c’est que ce soit une journée de partage, où l’on peut échanger avec les gens», confie Yves Perelli, président de l’association écomusée de Puisaye, organisateur de la fête. Ce dernier a notamment animé des visites du moulin. «Il est beaucoup plus ancien historiquement mais mécaniquement, tel qu’il est présenté là, c’est le reflet de ce qu’il était au début du XXe siècle».
Les visiteurs se testent aux travaux des champs
Une visite du marais ou encore une balade dans la ferme à caresser ânes et chevaux, étaient très appréciées des visiteurs. Et les enfants n’étaient pas en reste. Entre les jeux en extérieur, les tours en calèche et l’activité de fabrication de pain avec Émilie Pinon, tous avaient de quoi être satisfaits. Des ateliers de construction de jouets en bois, de vannerie sauvage et de soins aux animaux de la ferme étaient également possibles. Ainsi qu’une démonstration d’un entraînement de chiens de troupeaux
«Il y a aussi eu des travaux dans les champs, la fenaison, le fauchage du blé», indique Yves Perelli. Des activités pour certaines partagées avec le public qui a pu participer et tester les habitudes des paysans d’autrefois, comme la conduite d’un canadien dans les champs ou le battage au fléau.
Aussi, des démonstrations de la trépigneuse et de la machine à vapeur ont eu lieu. «Tout tourne autour des battages à l’ancienne», explique Yves Perelli. «Sans oublier la gastronomie locale car on sert que des produits qui sont transformés par nous-même pour permettre aux gens de découvrir les spécialités de notre vallée», conclut-il.