énergies renouvelables
Le photovoltaïque sur bâtiment, c’est maintenant !
Les panneaux photovoltaïques sur bâtiment sont encore un investissement très rentable. Vincent Gallois s’occupe de la pré-étude de ces projets à la Chambre d’agriculture de l’Yonne : il explique.
«Les années d’or, où l’électricité produite par les panneaux photovoltaïques était rémunérée à 60 centimes/kWh, sont finies depuis bien 10 ans. Certains qui n’ont pas saisi l’opportunité à ce moment-là s’en mordent les doigts… Mais il ne faut pas regarder que le prix d’achat ! À cette époque, pour faire 100 kW, il fallait un investissement en équipement très important, de l’ordre de 500 000 € pour couvrir 600 m2 de toiture. Aujourd’hui, l’électricité est rachetée 11 centimes/kWh mais l’investissement pour 100 kW ne représente plus que 60 000 €, ça rapporte quand même, puisque c’est amorti en 10 à 12 ans et que ça peut produire 30 voire
40 ans ! Et puis on n’a rien à faire à part relever le compteur, changer l’onduleur au bout de
10 ans et nettoyer de temps en temps. C’est de l’argent gagné à rien faire» explique Vincent Gallois.
Le gouvernement, qui souhaite développer les énergies renouvelables, subventionne la production d’énergie issue du photovoltaïque au travers d’un prix fixe et surévalué de 30% par rapport à l’électricité «classique». Les contrats de 20 ans assurent une rémunération fixe sur le long terme.
Installer des panneaux sur ses bâtiments
Pour installer des panneaux photovoltaïques sur ses bâtiments, l’idéal est une exposition plein sud, à 20 ou 30° est ou ouest pour avoir une production optimale. Tout type de bâtiment peut être équipé, tant que la charpente peut supporter 25 à 30 kg au m2, à condition aussi que l’assureur soit d’accord. Les bâtiments de volailles et porcs sont cependant écartés car les dégagements d’ammoniac abîment les panneaux. Mais pas de panique si aucun critère ne correspond, des sociétés proposent de construire un bâtiment équipé de panneaux, adapté à sa production, et de le louer aux agriculteurs sous la forme d’un bail emphytéotique pour une durée de 30 ans. Le bâtiment devient alors propriété du locataire au terme du bail.
Attention tout de même au coût de l’investissement initial qui varie selon les conditions de raccordement : mieux vaut être proche d’une ligne électrique. «Mais il y a une réfaction de 40% possible. Cela veut dire que 40% du coût du raccordement peut être payé par l’utilisateur» précise Vincent Gallois.
L’investissement dans les panneaux photovoltaïques représente un investissement à long terme, qui rapport de l’argent dès 10 ans de production. La perte de 0,40 % par an du potentiel de production des panneaux reste anecdotique par rapport au gain et à sa durée.
Pour en savoir plus, contactez Vincent Gallois au 03 86 94 26 34
40 ans ! Et puis on n’a rien à faire à part relever le compteur, changer l’onduleur au bout de
10 ans et nettoyer de temps en temps. C’est de l’argent gagné à rien faire» explique Vincent Gallois.
Le gouvernement, qui souhaite développer les énergies renouvelables, subventionne la production d’énergie issue du photovoltaïque au travers d’un prix fixe et surévalué de 30% par rapport à l’électricité «classique». Les contrats de 20 ans assurent une rémunération fixe sur le long terme.
Installer des panneaux sur ses bâtiments
Pour installer des panneaux photovoltaïques sur ses bâtiments, l’idéal est une exposition plein sud, à 20 ou 30° est ou ouest pour avoir une production optimale. Tout type de bâtiment peut être équipé, tant que la charpente peut supporter 25 à 30 kg au m2, à condition aussi que l’assureur soit d’accord. Les bâtiments de volailles et porcs sont cependant écartés car les dégagements d’ammoniac abîment les panneaux. Mais pas de panique si aucun critère ne correspond, des sociétés proposent de construire un bâtiment équipé de panneaux, adapté à sa production, et de le louer aux agriculteurs sous la forme d’un bail emphytéotique pour une durée de 30 ans. Le bâtiment devient alors propriété du locataire au terme du bail.
Attention tout de même au coût de l’investissement initial qui varie selon les conditions de raccordement : mieux vaut être proche d’une ligne électrique. «Mais il y a une réfaction de 40% possible. Cela veut dire que 40% du coût du raccordement peut être payé par l’utilisateur» précise Vincent Gallois.
L’investissement dans les panneaux photovoltaïques représente un investissement à long terme, qui rapport de l’argent dès 10 ans de production. La perte de 0,40 % par an du potentiel de production des panneaux reste anecdotique par rapport au gain et à sa durée.
Pour en savoir plus, contactez Vincent Gallois au 03 86 94 26 34
