Marché aux cadrans
La Sicafome change de président
Après quatre ans à la présidence du marché au cadran de Moulins-Engilbert, Philippe Martin vient de céder sa place à Benoît Blandin pour un mandat de deux ans.
C’est une page qui se tourne à la Sicafome. Philippe Martin en place depuis quatre ans à la présidence de la Sicafome a laissé sa place à Benoît Blandin. De ses deux mandats on peut retenir son soutien pour les éleveurs du département notamment pendant les périodes de crises sanitaires. L’engagement du désormais ex-président a permis de maintenir un dynamisme commercial au sein du Marché au Cadran de Moulins-Engilbert. Sous sa présidence on peut souligner la mise en place d’une politique de fidélisation des acheteurs qui continue aujourd’hui à porter ses fruits. Enfin, la Sicafome a engagé durant les deux mandats de Philippe Martin d’importants travaux de modernisation avec entre autres la mise en place d’un ring bascule avec portes automatiques, et des caméras de surveillance. Ces travaux seront prochainement présentés au public lors d’une inauguration officielle.
À 39 ans, c’est donc un nouveau challenge pour le nouveau président Benoît Blandin.
Installé avec sa mère et son frère à Saint-Péreuse, ce n’est pas un inconnu des lieux. « Je viens à la Sicafome depuis tout petit, j’ai toujours été baigné dans cet univers des ventes aux enchères » nous confie-t-il avec le sourire avant de poursuivre sur ses premiers objectifs. « Pour moi la valorisation des animaux est un élément essentiel, et les marchés comme celui de Moulins-Engilbert est le plus adapté. Je reste attaché à la liberté de vente de l’éleveur et à sa mise en concurrence. Ce dernier peut venir proposer ses animaux quand il le souhaite. Il est également payé rapidement. C’est l’un des atouts de notre outil. Je vais essayer avec toute l’équipe de continuer à pousser les prix vers le haut car le Marché de Moulins-Engilbert est une référence nationale et internationale pour les cotations. On vient au Marché de la Sicafome pour connaître les tendances, il faut que ça continue ainsi » explique-t-il.
Néanmoins, cet optimisme pourrait bien être entamé à cause de la décapitalisation bovine importante dans notre département. « Pour le moment, nous restons concentrés sur ce que l’on sait faire, c’est-à-dire proposer de la qualité. Nous verrons par la suite s’il faut engager d’autres solutions » conclut Benoît Blandin.
À 39 ans, c’est donc un nouveau challenge pour le nouveau président Benoît Blandin.
Installé avec sa mère et son frère à Saint-Péreuse, ce n’est pas un inconnu des lieux. « Je viens à la Sicafome depuis tout petit, j’ai toujours été baigné dans cet univers des ventes aux enchères » nous confie-t-il avec le sourire avant de poursuivre sur ses premiers objectifs. « Pour moi la valorisation des animaux est un élément essentiel, et les marchés comme celui de Moulins-Engilbert est le plus adapté. Je reste attaché à la liberté de vente de l’éleveur et à sa mise en concurrence. Ce dernier peut venir proposer ses animaux quand il le souhaite. Il est également payé rapidement. C’est l’un des atouts de notre outil. Je vais essayer avec toute l’équipe de continuer à pousser les prix vers le haut car le Marché de Moulins-Engilbert est une référence nationale et internationale pour les cotations. On vient au Marché de la Sicafome pour connaître les tendances, il faut que ça continue ainsi » explique-t-il.
Néanmoins, cet optimisme pourrait bien être entamé à cause de la décapitalisation bovine importante dans notre département. « Pour le moment, nous restons concentrés sur ce que l’on sait faire, c’est-à-dire proposer de la qualité. Nous verrons par la suite s’il faut engager d’autres solutions » conclut Benoît Blandin.
