Jardinerie
Entreprise Vittoz: la culture du chrysanthème de génération en génération
L’activité débute en 1960 à Chiddes au lieu-dit «Las» avec Lucien Vittoz, surnommé «la Verdure». Son fils Daniel reprend les rênes en 1979 avec son épouse Huguette et déménage à Sougy-sur-Loire six ans plus tard où la Jardinerie se trouve actuellement, en direction de Decize. Elle est aujourd’hui dirigée par la troisième génération, Fabien et son épouse Christine.
C’est un passionné d’horticulture qui nous reçoit dans sa jardinerie. Fabien Vittoz, 46 ans, dirige la jardinerie Baobab depuis 2014 à Sougy-sur-Loire. «Je suis tombé dedans lorsque j’étais petit» nous dit-il avec le sourire. «C’était une évidence, je voulais reprendre le flambeau pour ne pas que la tradition se perde» raconte-t-il. Aujourd’hui l’entreprise compte huit salariés.
Pour la famille Vittoz, le produit phare, c’est la production de chrysanthèmes. «C’est une culture qui débute en mai pour arriver à maturité à la Toussaint. Nous avons environ 2 000 m² entièrement réservés à cette production» explique-t-il.
Tout commence par la réception de plants de 3 à 4 centimètres. Ils sont ensuite mis dans des pots en terres cuites avec un terreau professionnel haut de gamme adapté à la culture de chrysanthèmes.
«Ces pots sont ensuite mis en plein champ et suffisamment écartés les uns des autres pour que la plante puisse se développer convenablement. Nous arrosons chaque pot via un système d’irrigation. Nous avons certainement moins de rendement que d’autres concurrents mais nous misons avant tout sur la qualité de nos produits. Cette culture de plein air donne aux plantes une résistance supérieure par rapport à une culture sous serre. Nous sommes totalement en phase avec nos traditions grâce à cette culture en plein air dans des pots en terre cuite» affirme Fabien Vittoz. Au total, entre 4 000 et 5 000 pieds de chrysanthèmes sont cultivés chaque année.
De nouveaux projets en ligne de mire
Parallèlement à cette production de chrysanthèmes, l’entreprise Vittoz dispose d’un espace de 5 000 m² pour la culture de légumes. «Nous avons par exemple 35 variétés de tomates. Nous souhaitons pour l’année 2019 développer la production de plantes aromatiques pour la cuisine. C’est un projet lancé avec Christophe Gaillard, pâtissier nivernais qui est membre de l’Académie Culinaire de France. Dans un premier temps, nous allons lancer une phase de test en 2019 avant une commercialisation à plus grande échelle» nous dit-il pour conclure.
Pour la famille Vittoz, le produit phare, c’est la production de chrysanthèmes. «C’est une culture qui débute en mai pour arriver à maturité à la Toussaint. Nous avons environ 2 000 m² entièrement réservés à cette production» explique-t-il.
Tout commence par la réception de plants de 3 à 4 centimètres. Ils sont ensuite mis dans des pots en terres cuites avec un terreau professionnel haut de gamme adapté à la culture de chrysanthèmes.
«Ces pots sont ensuite mis en plein champ et suffisamment écartés les uns des autres pour que la plante puisse se développer convenablement. Nous arrosons chaque pot via un système d’irrigation. Nous avons certainement moins de rendement que d’autres concurrents mais nous misons avant tout sur la qualité de nos produits. Cette culture de plein air donne aux plantes une résistance supérieure par rapport à une culture sous serre. Nous sommes totalement en phase avec nos traditions grâce à cette culture en plein air dans des pots en terre cuite» affirme Fabien Vittoz. Au total, entre 4 000 et 5 000 pieds de chrysanthèmes sont cultivés chaque année.
De nouveaux projets en ligne de mire
Parallèlement à cette production de chrysanthèmes, l’entreprise Vittoz dispose d’un espace de 5 000 m² pour la culture de légumes. «Nous avons par exemple 35 variétés de tomates. Nous souhaitons pour l’année 2019 développer la production de plantes aromatiques pour la cuisine. C’est un projet lancé avec Christophe Gaillard, pâtissier nivernais qui est membre de l’Académie Culinaire de France. Dans un premier temps, nous allons lancer une phase de test en 2019 avant une commercialisation à plus grande échelle» nous dit-il pour conclure.
