FDSEA 89
Pour que le consommateur remette les pieds sur terre
Bébés malformés, glyphosate cancérigène, lait infantile contaminé… et pourtant, 85 % des Français apprécient les agriculteurs car ils ne les jugent pas responsables de ces faits.
Les contre-feux à ces actualités, que certains voudraient assassines pour le monde paysan, sont allumés sous la forme de communication positive par les Jeunes Agriculteurs et la FDSEA de l’Yonne.
D’âneries en «conneries», de nouvelles anxiogènes en reportages partisans, les polémistes abreuvent d’informations biaisées, farfelues, de faits manipulés, un grand public qui y perd son latin. Pour une élite déracinée, née la bouche pleine, maîtrisant avec art information et désinformation, il est facile de manipuler l’opinion publique en vue d’un retour à une agriculture romantique, vivrière, celle d’une France sujette à la famine.
La porte est ouverte au pire, celui qui salit les femmes et les hommes qui nourrissent. L’angle choisi par les détracteurs est de répandre la peur.
Un besoin de communication et de transparence
Contre les nouvelles anxiogènes, il faut de la transparence, montrer que l’agriculture française fait bien, bon et salutaire. En effet, la manipulation des faits passée, les peurs s’apaisent et les Français remettent les pieds sur terre. C’est pourquoi JA et FDSEA sont engagés à l’ouverture des portes de l’agriculture icaunaise.
La fête de l’agriculture des JA à Athie a accueilli plus de 3 000 visiteurs, plusieurs dizaines de milliers à la Saint-Martin, sur la ville d’Auxerre. Les caves et fermes ouvertes, ainsi que la promenade gourmande, permettent au grand public de redécouvrir les lieux de production. Et au final, la vente directe à la ferme ou sur les marchés, le Drive fermier, ou les marchés des Terres de France à Paris sont autant de lieux de rencontres.
Les Français aiment les agriculteurs, leur tendre la main est le meilleur moyen de couper court aux polémiques montées de toutes pièces.
D’âneries en «conneries», de nouvelles anxiogènes en reportages partisans, les polémistes abreuvent d’informations biaisées, farfelues, de faits manipulés, un grand public qui y perd son latin. Pour une élite déracinée, née la bouche pleine, maîtrisant avec art information et désinformation, il est facile de manipuler l’opinion publique en vue d’un retour à une agriculture romantique, vivrière, celle d’une France sujette à la famine.
La porte est ouverte au pire, celui qui salit les femmes et les hommes qui nourrissent. L’angle choisi par les détracteurs est de répandre la peur.
Un besoin de communication et de transparence
Contre les nouvelles anxiogènes, il faut de la transparence, montrer que l’agriculture française fait bien, bon et salutaire. En effet, la manipulation des faits passée, les peurs s’apaisent et les Français remettent les pieds sur terre. C’est pourquoi JA et FDSEA sont engagés à l’ouverture des portes de l’agriculture icaunaise.
La fête de l’agriculture des JA à Athie a accueilli plus de 3 000 visiteurs, plusieurs dizaines de milliers à la Saint-Martin, sur la ville d’Auxerre. Les caves et fermes ouvertes, ainsi que la promenade gourmande, permettent au grand public de redécouvrir les lieux de production. Et au final, la vente directe à la ferme ou sur les marchés, le Drive fermier, ou les marchés des Terres de France à Paris sont autant de lieux de rencontres.
Les Français aiment les agriculteurs, leur tendre la main est le meilleur moyen de couper court aux polémiques montées de toutes pièces.