Cette année, les rendements dans le département sont quasiment équivalents en fonction des terres et des secteurs. Si habituellement les agriculteurs ayant des parcelles sur les plateaux de Bourgogne connaissent des récoltes délicates, cette année, c’est finalement eux qui s’en sortent le mieux, avec peu de pertes par rapport aux autres années.

Après avoir fait le point sur la campagne de cette année, Noël Deneuville (Chevenon) revient sur son inscription à Moissonneuse.fr d’Intercéréales.

Les premières graines de moutarde récoltées dans la plaine dijonnaise donnent un rendement de 15 q/ha. Maintenir cette moyenne permettrait d’honorer la commande des industriels.

C'est une des caractéristiques de l'année : les foins et les moissons se font simultanément dans bon nombre d'exploitations. Petit tour dans le secteur de Sombernon.

Après les explications techniques et agronomiques concernant la moisson 2024, Laurent Lebouille (EARL Lebouille à Cosne-Cours-sur-Loire) évoquait un autre point… plus humain cette fois.

Sébastien Ledoux, agriculteur et gérant de l'ETA de l'Auxois-Morvan, dressait un bilan intermédiaire de ses moissons vendredi dernier.

Dans la nuit du jeudi 11 au vendredi 12 juillet, un orage de grêle s'est abattu sur le Vézelien, causant de gros dégâts dans les vignes, et les champs encore non moissonnés. Un nouveau coup dur pour les viticulteurs et les agriculteurs, et un énième aléa climatique recensé.

Vincent Chaplot, agriculteur de Côte-d’Or et directeur de recherche à l’IRD, apporte son éclairage sur les causes possibles de la dégradation des sols agricoles.

Romain Jarlot, agriculteur dans le canton d'Arnay-le-Duc, évoque comme tous ses collègues les complications de l'année liées à l'excès d'eau.

Période estivale oblige, les moissons sont là. Mais, elles n'ont pas la physionomie attendue.