Crise céréalière
Vivéa accompagne les producteurs
La gravité de la situation des producteurs de céréales pour la campagne 2016 a amené Vivéa par la voix de sa présidente Christiane Lambert a organisé un accompagnement spécifique par le biais de la formation.
L’année 2016 a été extrêmement difficile pour les producteurs de céréales et en particulier les producteurs de grandes cultures des régions Centre, Ile de France, Haut-de-France, Grand Est et Bourgogne, qui sont parmi les plus touchés, avec des pertes de 30 à 50% du chiffre d’affaires par rapport à la moyenne des cinq dernières années. Ces chiffres devant encore être nuancés en fonction des exploitations et des régions.
De nouvelles thématiques spécifiques
Vivéa comptant parmi ses 600 000 contributeurs, 160 000 producteurs de céréales et d’oléoprotéagineux et 50 000 ayant un élevage associé, Christiane Lambert, présidente de Vivéa a souhaité accompagner ce public en grande difficulté. Un groupe de travail a été mis en place composé des comités régionaux Vivéa des zones les plus touchées, rejoints par l’APCA, Arvalis, Coop de France métiers du grains, ainsi que des professionnels de grandes cultures, afin d’analyser les besoins et la place de la formation dans le redressement des situations de chacun.
Ces partenaires ont identifié des besoins en formation et compétences nécessaires aux producteurs pour faire face à la situation actuelle sur le court et le moyen terme. Plusieurs thématiques ont été identifiées :
Comprendre cette situation exceptionnelle et prendre du recul.
Gérer la trésorerie et anticiper les besoins en fonds de roulement de l’exploitation.
Utiliser les leviers techniques pour optimiser la marge brute sans mettre en risque l’exploitation.
Calculer et analyser les coûts de production et optimiser les charges et la commercialisation.
Cette nouvelle offre devrait figurer dans les programmes des sessions de formation dès le mois de janvier. Pour Christiane Lambert il est essentiel que les producteurs comprennent toute l’importance de ces formations «participer à une formation c’est un moyen de prendre du recul avec l’appui du collectif et de chercher des solutions pour rebondir».
De nouvelles thématiques spécifiques
Vivéa comptant parmi ses 600 000 contributeurs, 160 000 producteurs de céréales et d’oléoprotéagineux et 50 000 ayant un élevage associé, Christiane Lambert, présidente de Vivéa a souhaité accompagner ce public en grande difficulté. Un groupe de travail a été mis en place composé des comités régionaux Vivéa des zones les plus touchées, rejoints par l’APCA, Arvalis, Coop de France métiers du grains, ainsi que des professionnels de grandes cultures, afin d’analyser les besoins et la place de la formation dans le redressement des situations de chacun.
Ces partenaires ont identifié des besoins en formation et compétences nécessaires aux producteurs pour faire face à la situation actuelle sur le court et le moyen terme. Plusieurs thématiques ont été identifiées :
Comprendre cette situation exceptionnelle et prendre du recul.
Gérer la trésorerie et anticiper les besoins en fonds de roulement de l’exploitation.
Utiliser les leviers techniques pour optimiser la marge brute sans mettre en risque l’exploitation.
Calculer et analyser les coûts de production et optimiser les charges et la commercialisation.
Cette nouvelle offre devrait figurer dans les programmes des sessions de formation dès le mois de janvier. Pour Christiane Lambert il est essentiel que les producteurs comprennent toute l’importance de ces formations «participer à une formation c’est un moyen de prendre du recul avec l’appui du collectif et de chercher des solutions pour rebondir».
