Baigneux-les-Juifs
Une seconde déception
La coopérative de déshydratation de la Haute-Seine a réalisé sa deuxième coupe de luzerne du 25 juin au 1er août. Sur ses 1 589 ha de cultures engagés, moins de 1 200 ha ont pu être récoltés.

« La faute, bien évidemment, aux effets de la sécheresse », déplore Didier Robin, le président de la SCA. Le rendement moyen obtenu dans les champs ensilés s’élève à 2,3 t MS/ha, avec d’énormes disparités selon les précipitations préalablement enregistrées. « La déception est bien là, surtout pour les secteurs où nous n’avons pas pu intervenir », retrace Jean-Luc Longechamp. Le directeur aurait bien « signé » pour terminer la récolte de la deuxième coupe sur ce même rendement de 2,3 tMS/ha, mais sur l’intégralité de la surface.
Les responsables de la SCA espèrent désormais effectuer une troisième coupe, après les précipitations de ces derniers jours : « ce n’est pas toujours évident : certains endroits ont la chance de prendre parfois 50 mm lors d’un orage et d’autres, pourtant à proximité, ne reçoivent malheureusement rien du tout. Mais nous y croyons, il peut encore se passer beaucoup de choses d’ici le 15 septembre ».
Pour rappel, 4 233 tonnes de matières sèches avaient été récoltées lors de la première coupe, sur un total de 1 422 ha. L’activité de l’usine de Baigneux-les-Juifs s’est concentrée depuis plusieurs semaines aux granulés de paille, aux issues de céréales, aux granulés de bois et, depuis quelques jours au maïs déshydraté, en attendant l’arrivée imminente du marc de raisin.
Les responsables de la SCA espèrent désormais effectuer une troisième coupe, après les précipitations de ces derniers jours : « ce n’est pas toujours évident : certains endroits ont la chance de prendre parfois 50 mm lors d’un orage et d’autres, pourtant à proximité, ne reçoivent malheureusement rien du tout. Mais nous y croyons, il peut encore se passer beaucoup de choses d’ici le 15 septembre ».
Pour rappel, 4 233 tonnes de matières sèches avaient été récoltées lors de la première coupe, sur un total de 1 422 ha. L’activité de l’usine de Baigneux-les-Juifs s’est concentrée depuis plusieurs semaines aux granulés de paille, aux issues de céréales, aux granulés de bois et, depuis quelques jours au maïs déshydraté, en attendant l’arrivée imminente du marc de raisin.