Baigneux-les-Juifs
Une réflexion sur la luzerne
La coopérative de déshydratation de la Haute-Seine a tenu son assemblée générale le 18 avril.
L’année 2013 a été difficile au niveau de la récolte avec un printemps très humide. La production reste stable mais les rendements à l’hectare sont assez faibles, aux environs de 8,5 t/ha. Aujourd’hui, la coopérative récolte environ 1400 hectares de luzerne.
Les surfaces en luzerne bio augmentent et représentent environ 25% de la production. La récolte de maïs a été très faible : 2500 tonnes, soit la moitié d’une année normale. Le développement des autres productions a permis de compenser cette baisse, par l’augmentation de la vente de granulés de bois et de la déshydratation de marc de raisin. Sur le plan économique, le résultat 2013 est positif (92 000 €), en nette amélioration par rapport à 2012 qui était de - 80 000 €. Ce bilan positif a été obtenu par l’amélioration du pré-fanage, l’économie sur les achats combustibles et une meilleure marge sur les ventes. Aujourd’hui, la luzerne garde un intérêt économique dans la rotation des cultures sur les exploitations agricoles. Les surfaces augmentent chaque année. Face à une forte demande des agriculteurs, une réflexion se met en place pour un agrandissement de l’outil de production. L’augmentation du rayon des récoltes est envisagé jusqu’à cinquante kilomètres au nord de Baigneux-les-Juifs. Les adhérents des trois coopératives (Baigneux, Dijon Céréales, 110 Bourgogne) seront informés dans les prochain mois par une circulaire. En fonction des réponses et de la motivation des agriculteurs, les choix techniques seront arrêtés.
Les surfaces en luzerne bio augmentent et représentent environ 25% de la production. La récolte de maïs a été très faible : 2500 tonnes, soit la moitié d’une année normale. Le développement des autres productions a permis de compenser cette baisse, par l’augmentation de la vente de granulés de bois et de la déshydratation de marc de raisin. Sur le plan économique, le résultat 2013 est positif (92 000 €), en nette amélioration par rapport à 2012 qui était de - 80 000 €. Ce bilan positif a été obtenu par l’amélioration du pré-fanage, l’économie sur les achats combustibles et une meilleure marge sur les ventes. Aujourd’hui, la luzerne garde un intérêt économique dans la rotation des cultures sur les exploitations agricoles. Les surfaces augmentent chaque année. Face à une forte demande des agriculteurs, une réflexion se met en place pour un agrandissement de l’outil de production. L’augmentation du rayon des récoltes est envisagé jusqu’à cinquante kilomètres au nord de Baigneux-les-Juifs. Les adhérents des trois coopératives (Baigneux, Dijon Céréales, 110 Bourgogne) seront informés dans les prochain mois par une circulaire. En fonction des réponses et de la motivation des agriculteurs, les choix techniques seront arrêtés.
