Bourgogne àlevage
Une organisation plus forte en amont
La coopérative Bourgogne àlevage s'est réunie en assemblée générale à la salle polyvalente de Vitteaux. De nouvelles stratégies ont été dévoilées pour assurer un développement à la hauteur de ses nouvelles ambitions.
Le directeur Michel Millot a tenu à le rappeler d'emblée. La coopérative Bourgogne àlevage, c'est un double métier. Il y a certes la mise en marché des productions. Celle-ci vise l'optimisation des débouchés et la maîtrise des charges. Mais il y a également un deuxième point important, jugé comme une des particularités de la coopérative. Il s'agit de l'encadrement technique des productions bovine et ovine. Lors de l'assemblée générale de Vitteaux, il a bien évidemment été question du bilan 2008. L'activité se développe en bovins viande et surtout en bovins maigres. Mais Bourgogne àlevage a principalement tenu à exposer ses nouvelles stratégies de développement.
[INTER]Revenir aux fondamentaux[inter]
Le président Franck Gambino a confirmé la volonté de la coopérative de s'investir à fond dans l'amont. [I]«Nous voulons orienter au mieux les productions des adhérents. Il faut les adapter à la demande. Le but est de défendre les revenus et l'avenir des éleveurs. Pour cela, il faut revenir aux fondamentaux de la coopération. Les erreurs du passé ne doivent plus se reproduire. Trop se soucier de l'aval tout en se concurrençant les uns les autres, cela fait baisser les prix. Mettre plusieurs coopératives au sein de l'union permet de mieux adapter les productions aux besoins de l'aval»[i].
Cette démarche est destinée à donner un nouvel élan au développement de la coopérative.
[INTER]Des actions innovantes[inter]
Parmi les différentes mesures prises par la coopérative figurent des aides à l'installation et à l'engraissement. La coopérative souhaite investir dans une aide incitative pour l'installation des jeunes adhérents. Cela s'effectuera par un financement à taux zéro de l'achat de cheptel. Les jeunes installés peuvent ainsi bénéficier d'une avance de trésorerie avec un prêt à taux zéro par vache allaitante ou laitière et par brebis. La coopérative souhaite également soutenir les démarches de relance dans l'engraissement en participant à divers financements. L'avance est de 600€ par place, avec un plafond de 50 places. Ces dossiers s'entendent dans le cadre de contrats et de
contractualisations.
[INTER]Revenir aux fondamentaux[inter]
Le président Franck Gambino a confirmé la volonté de la coopérative de s'investir à fond dans l'amont. [I]«Nous voulons orienter au mieux les productions des adhérents. Il faut les adapter à la demande. Le but est de défendre les revenus et l'avenir des éleveurs. Pour cela, il faut revenir aux fondamentaux de la coopération. Les erreurs du passé ne doivent plus se reproduire. Trop se soucier de l'aval tout en se concurrençant les uns les autres, cela fait baisser les prix. Mettre plusieurs coopératives au sein de l'union permet de mieux adapter les productions aux besoins de l'aval»[i].
Cette démarche est destinée à donner un nouvel élan au développement de la coopérative.
[INTER]Des actions innovantes[inter]
Parmi les différentes mesures prises par la coopérative figurent des aides à l'installation et à l'engraissement. La coopérative souhaite investir dans une aide incitative pour l'installation des jeunes adhérents. Cela s'effectuera par un financement à taux zéro de l'achat de cheptel. Les jeunes installés peuvent ainsi bénéficier d'une avance de trésorerie avec un prêt à taux zéro par vache allaitante ou laitière et par brebis. La coopérative souhaite également soutenir les démarches de relance dans l'engraissement en participant à divers financements. L'avance est de 600€ par place, avec un plafond de 50 places. Ces dossiers s'entendent dans le cadre de contrats et de
contractualisations.