Coopérative laitière de Côte-d’Or
Une animatrice pour le Gieenvilait
Lise Petitjean a pris ses fonctions le 6 janvier à Châtillon-sur-Seine.

Un vrai travail de fond débute pour les 37 éleveurs laitiers engagés dans le Groupement d’intérêt économique et environnemental (Gieenvilait). «Suite à la signature du Contrat de transition écologique (CTE) porté par Yolaine de Courson, députée de la 4ème circonscription, une connexion rapide et efficace a pu se faire avec les différents services de l’État et notamment la Draaf», indique Fabienne Lépy, présidente de la CLCO, «une étroite collaboration s’est mise en place avec AgroSup Dijon et notamment Hédi Benchedly, enseignant chercheur en systèmes d’élevage. Ce dernier a été le premier contributeur au dépôt du dossier d’aide à l’animation d’un GIEE au printemps 2018». Un accompagnement à hauteur de 80 % (soit 39 972 euros) a été obtenu pour l’embauche d’un ou d’une animatrice en CDD d’un an. Le recrutement a été lancé pour une mission axée sur six points : animation du GIEE (aide au développement d’une dynamique collective, actions en communication, suivi des actions, gestion administrative…), interaction avec d’autres GIEE et groupes d’agriculteurs, conduite et analyse des enquêtes, organisation de journées d’information et de formations (principalement orientées sur la culture de la luzerne et son intégration dans l’alimentation des vaches laitières), diffusion des résultats des différentes démarches et initiatives des agriculteurs du GIEE.
Après plusieurs entretiens d’embauche, c’est le profil de Lise Petitjean qui a été retenu. Cette jeune femme est diplômée d’un bac scientifique, d’une licence «science du vivant» spécialité écosystèmes et géosystèmes et d’un master «biodiversité, écologie et évolution». Ce dernier diplôme lui a permis, en deuxième année, de se spécialiser dans l’agroécologie et la gestion des ressources. «En parallèle, différents stages l’ont sensibilisée et aguerrie aux défis que doit relever le monde agricole, notamment lors d’une étude commanditée par la Chambre d’agriculture de Nouvelle Aquitaine, portant sur l’autonomie en protéines de la région, ou encore lors d’un stage effectué à la Draaf Paca portant sur le dialogue entre les riverains d’exploitation et les agriculteurs de la région, au sujet de l’utilisation des produits phytopharmaceutiques», mentionne Fabienne Lépy.
Après plusieurs entretiens d’embauche, c’est le profil de Lise Petitjean qui a été retenu. Cette jeune femme est diplômée d’un bac scientifique, d’une licence «science du vivant» spécialité écosystèmes et géosystèmes et d’un master «biodiversité, écologie et évolution». Ce dernier diplôme lui a permis, en deuxième année, de se spécialiser dans l’agroécologie et la gestion des ressources. «En parallèle, différents stages l’ont sensibilisée et aguerrie aux défis que doit relever le monde agricole, notamment lors d’une étude commanditée par la Chambre d’agriculture de Nouvelle Aquitaine, portant sur l’autonomie en protéines de la région, ou encore lors d’un stage effectué à la Draaf Paca portant sur le dialogue entre les riverains d’exploitation et les agriculteurs de la région, au sujet de l’utilisation des produits phytopharmaceutiques», mentionne Fabienne Lépy.