Abattoir de Châtillon-sur-Seine
Un coup de pouce apprécié
L’abattoir de Châtillon-sur-Seine est l’un des lauréats du plan national de modernisation.

Petite cure de jouvence pour l’abattoir de Châtillon-sur-Seine : le site va moderniser plusieurs de ses postes pour un montant de 200 000 euros. La municipalité et la société gérante mettront toutes les deux la main à la poche mais seront aidées à hauteur de 40 % par les crédits de France Relance. L’équipement fait en effet partie des huit abattoirs lauréats du plan national de modernisation en Bourgogne Franche-Comté. Ce plan vise à accompagner les entreprises d’abattage-découpe en renforçant leur compétitivité et leur exemplarité en matière d’hygiène alimentaire et de protection animale. De meilleures conditions de travail pour les salariés sont également au programme.
Bel outil de proximité
Une visite était proposée lundi 3 mai en présence de Fabien Sudry, préfet, qui était accompagné d’Hubert Brigand (maire de Châtillon), Fabrice Leclerc et Francis Lebon (le directeur et le président de l’abattoir), Marc Frot (vice-président du Conseil départemental), Isabelle Bourion (sous-préfète de Montbard), Anne-Catherine Loisier (sénatrice), Yolaine de Courson (députée), Jérémie Brigand (président de la communauté de communes) et plusieurs représentants de la profession agricole. La structure châtillonnaise, qui emploie huit salariés, est un abattoir multi-espèces dans lequel l’abattage de porcs représente 57 % de l’activité. Les bovins arrivent en seconde position (30 %), suivis des ovins (13 %). L’autorisation d’abattage vient de passer de 800 à 1 000 tonnes par an. L’abattoir revit clairement et repart de très loin après son arrêt d’activité en 2015.
Bel outil de proximité
Une visite était proposée lundi 3 mai en présence de Fabien Sudry, préfet, qui était accompagné d’Hubert Brigand (maire de Châtillon), Fabrice Leclerc et Francis Lebon (le directeur et le président de l’abattoir), Marc Frot (vice-président du Conseil départemental), Isabelle Bourion (sous-préfète de Montbard), Anne-Catherine Loisier (sénatrice), Yolaine de Courson (députée), Jérémie Brigand (président de la communauté de communes) et plusieurs représentants de la profession agricole. La structure châtillonnaise, qui emploie huit salariés, est un abattoir multi-espèces dans lequel l’abattage de porcs représente 57 % de l’activité. Les bovins arrivent en seconde position (30 %), suivis des ovins (13 %). L’autorisation d’abattage vient de passer de 800 à 1 000 tonnes par an. L’abattoir revit clairement et repart de très loin après son arrêt d’activité en 2015.