[G]Jean-Marie Pautard[g], président de la COCEBI :
[I]« L'agriculture biologique est partie intégrante de l'agriculture conventionnelle. Quand on fait du bio, on détruit du conventionnel, on ne peut faire les deux en même temps. Cela dit, nos collègues conventionnels sont des amis et on travaille bien ensemble, même si on ne fait pas le même métier... Je trouve dommage que le lycée agricole de la Brosse soit passé à côté du film du développement de l'agriculture bio. Un lycée n'est pas là pour avoir une rentabilité mais pour éclairer les élèves, notamment dans les filières bio...»[i]
[G]Christophe Varache[g], president du GABY:
[I]« Nous sommes toujours considérés comme des paysans hurluberlus et on nous regarde toujours un peu de travers... Il faut aller beaucoup plus loin maintenant, après cette conférence dont je me félicite... Il faut une réelle coordination entre tous les agriculteurs pour arriver à s'entendre sur le terrain et cela, dans les deux sens... »[i]
[G]Marc Schaller,[g] président du Conseil d'administration du lycée la Brosse :
[I]« La faisabilité du bio sur l'exploitation aurait entraîné un morcellement important des surfaces... L'idée est de faire une production intégrée avec désherbage mécanique et le moins de produits possibles, sans s'interdire d'en utiliser... L'agrobiologie, ce n'est pas revenir 50 ans en arrière, sans techniciens comme on a pu le lire de ci de là...Il ne faut pas considérer le bio comme un état de fait mais comme un processus technique à élaborer petit à petit... »[i]
[G]Pierre Botheron[g], directeur de l'EPL des Terres de l'Yonne :
[I]« Passer en bio sur l'exploitation du lycée, c'est rajouter une technique en plus, avec le risque d'être contreproductif et un mauvais exemple pour le bio dans les 20 ans qui viennent, sur le département... OK pour travailler avec vous sur la mise en place d'un réseau d'agrobios, capables de faire partager les expériences économiques et agronomiques aux étudiants... Il nous faut regarder concrètement comment convertir en bio les 6,5 ha du domaine viticole du lycée et en faire une carte de visite pour la filière... »[i]
[G]Jean-Michel Delagneau[g], Conseiller général et « pionnier » du bio dans l'Yonne :
[I]«... En France, on gaspille 60.000 ha par an, retirés à la production alimentaire... Pour construire l'avenir, il faut parfois penser au passé, souvenez-vous de la phrase de Gandhi : « plantes un arbre mais surtout, formes un homme ! »[i]
[G]
Bernard Krempp[g], président du SEDARB :
[I]« Les freins sont avant tout les idées reçues par méconnaissance ou ignorance... Il faut avant tout investir sur la connaissance du sol et en 1er lieu, la connaissance de chaque sol... Vous qui avez la chance dans la salle, d'avoir de bonnes terres, franchement, les gars, « allez-y » !... Celui qui est motivé deviendra tôt ou tard un bon technicien bio... »[i]
[G]Gerard Delagneau[g], président 110 Bourgogne :
[I]« Je ne peux pas laisser dire aujourd'hui que les coops ne sont pas intéressées, que les conventionnels ne sont pas des agronomes et que l'on regarde de travers les agrobios... Je ne veux surtout pas que l'on oppose le bio et le conventionnel. Nous, on a vocation à nourrir toutes les strates de la société et de la population... Si les OGM sont si dangereux, il faut arrêter d'en importer, si ce n'est pas le cas, laissons les agriculteurs français en importer... »[i]
[G]Jean Massé[g], Conseiller général et agriculteur bio :
[I]« Dans le Chablisien, 30 exploitations entameront une reconversion en bio en 2009. Alors je dis champion ! Chapeau !... Agriculture traditionnelle, raisonnée, intégrée et puis après, au bout, c'est l'agriculture biologique, il n'y a qu'un pas à faire !... »[i]
[G]Etienne Henriot[g], président de la coopérative Capserval :
[I]« Il y a de la place pour tout le monde et pour tous les agriculteurs sur le territoire. Ce n'est pas en stigmatisant l'agriculture conventionnelle que l'on militera le mieux pour le bio, on a tous un rôle à jouer... L'agriculture bio sur les zones de captage est un outil, mais n'est pas « l'outil » et il faut en tenir compte... »[i]
[I]« L'agriculture biologique est partie intégrante de l'agriculture conventionnelle. Quand on fait du bio, on détruit du conventionnel, on ne peut faire les deux en même temps. Cela dit, nos collègues conventionnels sont des amis et on travaille bien ensemble, même si on ne fait pas le même métier... Je trouve dommage que le lycée agricole de la Brosse soit passé à côté du film du développement de l'agriculture bio. Un lycée n'est pas là pour avoir une rentabilité mais pour éclairer les élèves, notamment dans les filières bio...»[i]
[G]Christophe Varache[g], president du GABY:
[I]« Nous sommes toujours considérés comme des paysans hurluberlus et on nous regarde toujours un peu de travers... Il faut aller beaucoup plus loin maintenant, après cette conférence dont je me félicite... Il faut une réelle coordination entre tous les agriculteurs pour arriver à s'entendre sur le terrain et cela, dans les deux sens... »[i]
[G]Marc Schaller,[g] président du Conseil d'administration du lycée la Brosse :
[I]« La faisabilité du bio sur l'exploitation aurait entraîné un morcellement important des surfaces... L'idée est de faire une production intégrée avec désherbage mécanique et le moins de produits possibles, sans s'interdire d'en utiliser... L'agrobiologie, ce n'est pas revenir 50 ans en arrière, sans techniciens comme on a pu le lire de ci de là...Il ne faut pas considérer le bio comme un état de fait mais comme un processus technique à élaborer petit à petit... »[i]
[G]Pierre Botheron[g], directeur de l'EPL des Terres de l'Yonne :
[I]« Passer en bio sur l'exploitation du lycée, c'est rajouter une technique en plus, avec le risque d'être contreproductif et un mauvais exemple pour le bio dans les 20 ans qui viennent, sur le département... OK pour travailler avec vous sur la mise en place d'un réseau d'agrobios, capables de faire partager les expériences économiques et agronomiques aux étudiants... Il nous faut regarder concrètement comment convertir en bio les 6,5 ha du domaine viticole du lycée et en faire une carte de visite pour la filière... »[i]
[G]Jean-Michel Delagneau[g], Conseiller général et « pionnier » du bio dans l'Yonne :
[I]«... En France, on gaspille 60.000 ha par an, retirés à la production alimentaire... Pour construire l'avenir, il faut parfois penser au passé, souvenez-vous de la phrase de Gandhi : « plantes un arbre mais surtout, formes un homme ! »[i]
[G]
Bernard Krempp[g], président du SEDARB :
[I]« Les freins sont avant tout les idées reçues par méconnaissance ou ignorance... Il faut avant tout investir sur la connaissance du sol et en 1er lieu, la connaissance de chaque sol... Vous qui avez la chance dans la salle, d'avoir de bonnes terres, franchement, les gars, « allez-y » !... Celui qui est motivé deviendra tôt ou tard un bon technicien bio... »[i]
[G]Gerard Delagneau[g], président 110 Bourgogne :
[I]« Je ne peux pas laisser dire aujourd'hui que les coops ne sont pas intéressées, que les conventionnels ne sont pas des agronomes et que l'on regarde de travers les agrobios... Je ne veux surtout pas que l'on oppose le bio et le conventionnel. Nous, on a vocation à nourrir toutes les strates de la société et de la population... Si les OGM sont si dangereux, il faut arrêter d'en importer, si ce n'est pas le cas, laissons les agriculteurs français en importer... »[i]
[G]Jean Massé[g], Conseiller général et agriculteur bio :
[I]« Dans le Chablisien, 30 exploitations entameront une reconversion en bio en 2009. Alors je dis champion ! Chapeau !... Agriculture traditionnelle, raisonnée, intégrée et puis après, au bout, c'est l'agriculture biologique, il n'y a qu'un pas à faire !... »[i]
[G]Etienne Henriot[g], président de la coopérative Capserval :
[I]« Il y a de la place pour tout le monde et pour tous les agriculteurs sur le territoire. Ce n'est pas en stigmatisant l'agriculture conventionnelle que l'on militera le mieux pour le bio, on a tous un rôle à jouer... L'agriculture bio sur les zones de captage est un outil, mais n'est pas « l'outil » et il faut en tenir compte... »[i]