Printemps de l'agriculture
Succès pour la 3ème édition
La 3e édition du « printemps de l'agriculture » a cette année encore connu le succès. Emeus du Tonnerrois, bovins de Puisaye, poulets de l'Aillantais..., un choix éclectique pour les centaines de visiteurs qui se sont succédés dans les trois exploitations ouvertes pour la circonstance.
Un petit cours de génétique par ci, un point sur la sécheresse par là, l'architecture des bâtiments, les caractéristiques d'une viande de qualité..., autant de sujets abordés par Gilles Abry, pour expliquer sur sa ferme de Leugny le travail d'un éleveur aujourd'hui. L'occasion aussi de briser des idées parfois préconçues : « donnez-lui une alimentation suffisante, un endroit sec pour se coucher, une vache dehors, même par -5°, n'a pas froid et sera aussi heureuse que sous un hangar ! »
Chez la famille Boname, Christian et son fils Joël se sont partagés les visites. Il fallait bien ça pour canaliser les curieux venus en nombre à la découverte de cet élevage de poulets dans l'Aillantais. L'occasion aussi pour les éleveurs de rappeler que si « Maître Goupil » parvient certaines nuits à sauter les barrières pour faire bombance, ce sont surtout les « [I]renards à deux pattes[i] » qui font le plus de ravages : [I]"En 7 ans c'est la valeur d'un bâtiment entier de poulets qui a été volé !"[i].
Un petit cours de génétique par ci, un point sur la sécheresse par là, l'architecture des bâtiments, les caractéristiques d'une viande de qualité..., autant de sujets abordés par Gilles Abry, pour expliquer sur sa ferme de Leugny le travail d'un éleveur aujourd'hui. L'occasion aussi de briser des idées parfois préconçues : « donnez-lui une alimentation suffisante, un endroit sec pour se coucher, une vache dehors, même par -5°, n'a pas froid et sera aussi heureuse que sous un hangar ! »
Chez la famille Boname, Christian et son fils Joël se sont partagés les visites. Il fallait bien ça pour canaliser les curieux venus en nombre à la découverte de cet élevage de poulets dans l'Aillantais. L'occasion aussi pour les éleveurs de rappeler que si « Maître Goupil » parvient certaines nuits à sauter les barrières pour faire bombance, ce sont surtout les « [I]renards à deux pattes[i] » qui font le plus de ravages : [I]"En 7 ans c'est la valeur d'un bâtiment entier de poulets qui a été volé !"[i].
