Élevage
Sima : les éleveurs nivernais se préparent
Ce dimanche s’ouvre le Sima de Villepinte, en Seine-Saint-Denis. Durant cinq jours, 1 800 entreprises de 42 pays vont se succéder. Temps fort de ce salon, la journée Charolaise du 25 février dans le Hall 2 du parc des expositions. Nous avons suivi les cinq élevages nivernais lors d’une visite technique organisée par Simon Genetic.
dans la catégorie extrême viande.
Ils sont cinq à participer à ce mondial des fournisseurs de l’agriculture qui se déroulent à Villepinte en Seine-Saint Denis. Une présence rendue possible grâce au travail de sélection de l’entreprise «Simon Génétic». Cette dernière va présenter des animaux lors de la vente aux enchères le lundi 25 février à 15 h 30 dans le Hall 2. «Notre objectif est de montrer le meilleur de la race dans chaque catégorie. Ce salon sert aussi à générer de l’émulation autour de la race charolaise et d’établir des relations commerciales durables» estime Simon Perrot, le dirigeant de Simon Genetic. La visite des cinq exploitations a débuté à Luzy au Gaec Martin Gilles & Fils. L’exploitation va présenter deux bêtes dans la catégorie extrême viande : «œilleton et oeuridis».
La visite s’est poursuivie sur la ferme de l’EARL Stéphane Berger à Ternant. Lui va présenter «open». Une bête née le 23 février 2018. «L’objectif avec ce type d’animaux, c’est de montrer que l’on peut vendre des charolais parfaits pour faire des croisements pour l’export, notamment pour le pays de l’Est» détaille Simon Perrot. Objectif totalement différent avec la troisième visite sur l’exploitation d’Emmanuel Detronchet à Montaron. L’éleveur va présenter «Nantesses» une laitonne de 14 mois née grâce à des embryons. «L’intérêt c’est aussi de montrer que l’on peut faire de très bons animaux même avec des embryons» explique Simon Perrot. C’est le cas également avec «Iamine» du Gaec Deboux. C’est une génisse de deux ans qui est la fille «d’Athénon», une des meilleures bêtes de l’exploitation. Enfin l’après-midi s’est terminée la visite de l’EARL Renaud. Les deux frères vont présenter trois bêtes : une vache («Myrtille»), un taureau («Mistigris») et un veau («Play-Boy»). L’une des particularités de cet élevage c’est que les vaches vont concourir dans la catégorie «sans cornes».
Tous ces éleveurs sont donc à retrouver lundi 25 février au Sima de Villepinte du 24 au 28 février.
Plus d’info sur le site de simongenetic.com
La visite s’est poursuivie sur la ferme de l’EARL Stéphane Berger à Ternant. Lui va présenter «open». Une bête née le 23 février 2018. «L’objectif avec ce type d’animaux, c’est de montrer que l’on peut vendre des charolais parfaits pour faire des croisements pour l’export, notamment pour le pays de l’Est» détaille Simon Perrot. Objectif totalement différent avec la troisième visite sur l’exploitation d’Emmanuel Detronchet à Montaron. L’éleveur va présenter «Nantesses» une laitonne de 14 mois née grâce à des embryons. «L’intérêt c’est aussi de montrer que l’on peut faire de très bons animaux même avec des embryons» explique Simon Perrot. C’est le cas également avec «Iamine» du Gaec Deboux. C’est une génisse de deux ans qui est la fille «d’Athénon», une des meilleures bêtes de l’exploitation. Enfin l’après-midi s’est terminée la visite de l’EARL Renaud. Les deux frères vont présenter trois bêtes : une vache («Myrtille»), un taureau («Mistigris») et un veau («Play-Boy»). L’une des particularités de cet élevage c’est que les vaches vont concourir dans la catégorie «sans cornes».
Tous ces éleveurs sont donc à retrouver lundi 25 février au Sima de Villepinte du 24 au 28 février.
Plus d’info sur le site de simongenetic.com
