Concours charolais
Semur-en-Auxois, la référence départementale
Le seul concours côte d’orien reconnu par le HBC vivra sa 54ème édition mercredi et jeudi prochains.

Un grand moment pour les éleveurs charolais, mais aussi pour la Ville et tous les bénévoles qui préparent l’évènement depuis plus d’un mois : le concours charolais de Semur-en-Auxois revient de plus belle avec ses 250 bovins de qualité.
De nombreux visiteurs sont attendus sous le hall de l’agriculture mercredi 20 novembre pour les classements des différentes catégories dès 8 heures. Les résultats seront proclamés au cours de la matinée. Le restant de la journée et le lendemain seront consacrés au grand public.
La visite officielle débutera à 16 heures jeudi 21 novembre. Comme chaque année, deux grands déjeuners devraient réunir de très nombreuses personnes avec, ce n’est pas une surprise, de la viande charolaise au menu. «Éleveurs, professionnels et grand public se retrouvent à chaque fois dans une ambiance très conviviale, cela ne devrait pas changer pour cette 54ème édition» annonce Jean-Luc Baudot, président du comité d’agriculture de Semur-en-Auxois. Celui-ci tient à souligner l’investissement de Bovins Croissance, de la Chambre d’agriculture, du Conseil général, du Conseil régional et de tous les partenaires pour la réussite de l’évènement.
Des nouveautés
Un trophée viande fera sa toute première apparition. Un juge de Saône-et-Loire se déplacera pour l’occasion. Un jeune du canton de Semur-en-Auxois, adhérent à Bovins Croissance et au HBC mais ne participant pas au concours, prendra part au jugement des différents grands prix. «L’objectif est d’ouvrir notre concours à des jeunes intéressés par la génétique, n’ayant pas encore entrepris les démarches pour participer à notre rendez-vous» indique Jean-Luc Baudot. En ce qui concerne les inscriptions, six élevages manquent à l’appel par rapport à l’an passé. «Nous n’en connaissons pas exactement les causes» note le président du comité d’agriculture, «le contexte du marché de la viande, mauvais en ce moment, n’y est sans doute pas étranger. Il y a une baisse importante des cours depuis le début de l’automne. Les frais dans la préparation des animaux de concours sont conséquents et en ont peut-être découragé quelques-uns». Quant à l’aspect commercial, Jean-Luc Baudot reste optimiste malgré des résultats assez décevants dans les concours des précédentes semaines : «j’espère que nous resterons sur le même niveau que l’an passé en maintenant une vingtaine de transactions. Nous sommes mieux placés dans la saison et en général, il se fait un peut plus de ventes à Semur».
De nombreux visiteurs sont attendus sous le hall de l’agriculture mercredi 20 novembre pour les classements des différentes catégories dès 8 heures. Les résultats seront proclamés au cours de la matinée. Le restant de la journée et le lendemain seront consacrés au grand public.
La visite officielle débutera à 16 heures jeudi 21 novembre. Comme chaque année, deux grands déjeuners devraient réunir de très nombreuses personnes avec, ce n’est pas une surprise, de la viande charolaise au menu. «Éleveurs, professionnels et grand public se retrouvent à chaque fois dans une ambiance très conviviale, cela ne devrait pas changer pour cette 54ème édition» annonce Jean-Luc Baudot, président du comité d’agriculture de Semur-en-Auxois. Celui-ci tient à souligner l’investissement de Bovins Croissance, de la Chambre d’agriculture, du Conseil général, du Conseil régional et de tous les partenaires pour la réussite de l’évènement.
Des nouveautés
Un trophée viande fera sa toute première apparition. Un juge de Saône-et-Loire se déplacera pour l’occasion. Un jeune du canton de Semur-en-Auxois, adhérent à Bovins Croissance et au HBC mais ne participant pas au concours, prendra part au jugement des différents grands prix. «L’objectif est d’ouvrir notre concours à des jeunes intéressés par la génétique, n’ayant pas encore entrepris les démarches pour participer à notre rendez-vous» indique Jean-Luc Baudot. En ce qui concerne les inscriptions, six élevages manquent à l’appel par rapport à l’an passé. «Nous n’en connaissons pas exactement les causes» note le président du comité d’agriculture, «le contexte du marché de la viande, mauvais en ce moment, n’y est sans doute pas étranger. Il y a une baisse importante des cours depuis le début de l’automne. Les frais dans la préparation des animaux de concours sont conséquents et en ont peut-être découragé quelques-uns». Quant à l’aspect commercial, Jean-Luc Baudot reste optimiste malgré des résultats assez décevants dans les concours des précédentes semaines : «j’espère que nous resterons sur le même niveau que l’an passé en maintenant une vingtaine de transactions. Nous sommes mieux placés dans la saison et en général, il se fait un peut plus de ventes à Semur».
Un participant du «77»
Trente-six élevages sont inscrits au concours. Parmi eux, deux «petits nouveaux» ou presque : le Gaec Roube (Magny-Cours, dans la Nièvre) et l’EARL de Rouilly-le-Bas (Guerard, en Seine-et-Marne). «A soixante kilomètres de Paris, ne sommes pas dans une grande région d’élevage! Alors nous devons nous déplacer. Semur a une grande renommée alors nous avons décidé d’y aller cette année. Nos motivations? Tenter d’obtenir de bons classements et essayer de vendre des animaux» signale Sophie De Rieux, de l’EARL de Rouily-le-Bas. Cette exploitation présentera trois jeunes mâles la semaine prochaine à Semur, après une première participation lors de l’édition de 1992.