Évènement
Printemps et agriculture se sont donnés rendez-vous dans l'Yonne
Opération réussie pour cette première édition du «printemps de l'agriculture» pour laquelle 14 exploitations du département de l'Yonne avaient ouvert leurs portes au public.
Partager le savoir-faire des agriculteurs, déguster leurs produits du terroir, profiter d'animations gratuites... : le programme de ce premier «printemps de l'agriculture» était alléchant. Lancée en février dernier, lors du salon de l'Agriculture, l'opération était organisée conjointement par la Chambre d'agriculture et l'agence de Développement Touristique de l'Yonne.
«Et avec quoi fait-on du pop corn ?» Pas évident lorsque l'on a sept ou huit ans de trouver la bonne réponse parmi l'éventail de sachets de graines présentés... Florence Pouteau exploite avec son mari céréales et pommes de terre à Evry, dans le Sénonais. Cette habituée des opérations de communication auprès du grand public ouvre régulièrement ses portes aux scolaires et pratique «l'école aux champs» : «conventionnel ou bio, ce sont les enfants qui choisiront l'agriculture de demain, c'est pas nous !». Pour l'heure, ce sont surtout les animaux de la ferme qui ont les faveurs du jeune public en ce samedi : de «Côtelette et Jambon» (les cochons) à Magret et Magrette (les canards) en passant par «Escalope» (la dinde). Sans oublier la femelle nandou de sept ans qui trône au milieu de la cour de cette véritable arche de Noé qu'est la ferme des Pouteau. Les adultes ne sont pas en reste et Florence se lance autour d'une dégustation de cidre, dans une explication de ce qu'est l'agriculture raisonnée ou du rôle des pesticides : «non, ça ne fabrique pas que de la pollution, c'est aussi là pour protéger les plantes !». Dialogues rapides mettant en avant le rôle et l'utilité d'actions comme le «printemps de l'agriculture» : informer, expliquer et au final, faire tomber ces barrières encore trop présentes entre monde citadin et monde rural. Des barrières souvent génératrices d'idées fausses et préconçues.
«Et avec quoi fait-on du pop corn ?» Pas évident lorsque l'on a sept ou huit ans de trouver la bonne réponse parmi l'éventail de sachets de graines présentés... Florence Pouteau exploite avec son mari céréales et pommes de terre à Evry, dans le Sénonais. Cette habituée des opérations de communication auprès du grand public ouvre régulièrement ses portes aux scolaires et pratique «l'école aux champs» : «conventionnel ou bio, ce sont les enfants qui choisiront l'agriculture de demain, c'est pas nous !». Pour l'heure, ce sont surtout les animaux de la ferme qui ont les faveurs du jeune public en ce samedi : de «Côtelette et Jambon» (les cochons) à Magret et Magrette (les canards) en passant par «Escalope» (la dinde). Sans oublier la femelle nandou de sept ans qui trône au milieu de la cour de cette véritable arche de Noé qu'est la ferme des Pouteau. Les adultes ne sont pas en reste et Florence se lance autour d'une dégustation de cidre, dans une explication de ce qu'est l'agriculture raisonnée ou du rôle des pesticides : «non, ça ne fabrique pas que de la pollution, c'est aussi là pour protéger les plantes !». Dialogues rapides mettant en avant le rôle et l'utilité d'actions comme le «printemps de l'agriculture» : informer, expliquer et au final, faire tomber ces barrières encore trop présentes entre monde citadin et monde rural. Des barrières souvent génératrices d'idées fausses et préconçues.
