élevage
Pathologies des ovins
Les maladies des ovins sont nombreuses et bien qu’il soit souvent impossible de poser le bon diagnostic avec certitude dès les premiers symptômes, il faut commencer par le plus simple avant de chercher des maladies bizarres.

Les bonnes réactions
L’éleveur qui constate des mortalités en série doit réagir vite et observer le comportement des animaux en notant tous les symptômes, en prenant la température et en remontant l’historique des dernières interventions.
Le parasitisme avant tout
C’est de loin la première cause des mortalités en série, surtout en cette fin de saison d’herbage où les strongles sont en nombre important, paradoxalement par rapport à la sécheresse que nous avons subie. Il convient de faire impérativement des contrôles par analyses coprologiques dans l’année dans les différentes phases de reproduction : avant la lutte et avant la mise-bas ou à la rentrée en bergerie.
Lorsque la mortalité survient, l’autopsie est le meilleur moyen d’observer les différents parasites digestifs. Si l’éleveur n’est pas adroit dans cet exercice, il peut avoir recours à son vétérinaire. L’autopsie doit se réaliser sur un animal fraîchement mort.
Traitements
Après constat du parasitisme, il faudra appliquer un traitement anthelmintique adéquat en prenant toujours comme référence le poids de la plus grosse brebis afin d’éviter les sous-dosages. Attention à changer de familles d’antiparasitaires pour éviter d’éventuelles résistances. Pour cela, le technicien ou le vétérinaire interviendront dans la prise de décision.
Sur les brebis douteuses, vérifier la couleur de la troisième paupière qui doit être rose.
être vigilant
La perte de poids d’une brebis, hormis la phase de lactation, n’est pas forcément dûe qu’au parasitisme. Après avoir éliminé les problèmes relatifs à l’âge, à la dentition ou d’accidents perceptibles, il convient de se pencher sur l’alimentation : à l’équilibre et à la quantité de la ration. En effet, les fourrages et les céréales récoltés durant cette campagne présentent une valeur UF et PDI très en dessous des références habituelles.
En distribuant la même ration que l’année précédente, les animaux sont moins en état pour affronter les phases critiques de la reproduction.
Pour remédier à ce problème il faut faire des analyses de fourrages pour équilibrer au mieux les rations et éviter en aval, les faibles lactations des brebis qui peuvent entraîner une mortalité précoce des agneaux. En conclusion, il faut rester vigilant sur la conduite du troupeau sans négliger l’effet environnement (herbages et bâtiments) afin d’éloigner les maux les plus graves.
L’éleveur qui constate des mortalités en série doit réagir vite et observer le comportement des animaux en notant tous les symptômes, en prenant la température et en remontant l’historique des dernières interventions.
Le parasitisme avant tout
C’est de loin la première cause des mortalités en série, surtout en cette fin de saison d’herbage où les strongles sont en nombre important, paradoxalement par rapport à la sécheresse que nous avons subie. Il convient de faire impérativement des contrôles par analyses coprologiques dans l’année dans les différentes phases de reproduction : avant la lutte et avant la mise-bas ou à la rentrée en bergerie.
Lorsque la mortalité survient, l’autopsie est le meilleur moyen d’observer les différents parasites digestifs. Si l’éleveur n’est pas adroit dans cet exercice, il peut avoir recours à son vétérinaire. L’autopsie doit se réaliser sur un animal fraîchement mort.
Traitements
Après constat du parasitisme, il faudra appliquer un traitement anthelmintique adéquat en prenant toujours comme référence le poids de la plus grosse brebis afin d’éviter les sous-dosages. Attention à changer de familles d’antiparasitaires pour éviter d’éventuelles résistances. Pour cela, le technicien ou le vétérinaire interviendront dans la prise de décision.
Sur les brebis douteuses, vérifier la couleur de la troisième paupière qui doit être rose.
être vigilant
La perte de poids d’une brebis, hormis la phase de lactation, n’est pas forcément dûe qu’au parasitisme. Après avoir éliminé les problèmes relatifs à l’âge, à la dentition ou d’accidents perceptibles, il convient de se pencher sur l’alimentation : à l’équilibre et à la quantité de la ration. En effet, les fourrages et les céréales récoltés durant cette campagne présentent une valeur UF et PDI très en dessous des références habituelles.
En distribuant la même ration que l’année précédente, les animaux sont moins en état pour affronter les phases critiques de la reproduction.
Pour remédier à ce problème il faut faire des analyses de fourrages pour équilibrer au mieux les rations et éviter en aval, les faibles lactations des brebis qui peuvent entraîner une mortalité précoce des agneaux. En conclusion, il faut rester vigilant sur la conduite du troupeau sans négliger l’effet environnement (herbages et bâtiments) afin d’éloigner les maux les plus graves.