Bureau interprofessionnel des vins de Bourgogne (BIVB)
Passation de pouvoirs
Mardi à Beaune, l’assemblée générale de l’Interprofession des vins de Bourgogne avait un goût particulier puisqu’il s’agissait de la dernière pour Michel Baldassini et Pierre-Henri Gagey, respectivement présidents des familles viticulture et négoce. Le vigneron de Ladoix, Claude Chevalier, préside désormais pour deux ans avant d’alterner avec Louis-Fabrice Latour.

[INTER]Rapprochement avec le Beaujolais[inter][INTER][inter]
Présentés par les familles respectives, CAVB et FNEB, les candidats aux postes de [I]“co-présidents”[i], Claude Chevalier et Louis-Fabrice Latour, prenaient alors la parole avant le renouvellement des membres. Le vigneron de Ladoix se présentait comme [I]«ne vouant pas être un président normal»[i] mais voulant une [I]«Bourgogne forte avec une viticulture face ou plutôt avec un négoce fort»[i]. Un discours qui a encore des accents syndicaux, pour celui qui fut à l’origine de la création de la CAVB et premier président. Trente sept années après son père, Louis-Fabrice Latour accède aussi à la présidence de l’Interprofession. [I]«Nous ne sommes pas des révolutionnaires mais des défis nous attendent avec moins de marges de manœuvre suite à l’accumulation de petites récoltes. Il faudra définir des priorités. Le rapprochement avec le Beaujolais sera peut-être un des événements marquants de notre mandature»[i], annonçait-il déjà.
Présentés par les familles respectives, CAVB et FNEB, les candidats aux postes de [I]“co-présidents”[i], Claude Chevalier et Louis-Fabrice Latour, prenaient alors la parole avant le renouvellement des membres. Le vigneron de Ladoix se présentait comme [I]«ne vouant pas être un président normal»[i] mais voulant une [I]«Bourgogne forte avec une viticulture face ou plutôt avec un négoce fort»[i]. Un discours qui a encore des accents syndicaux, pour celui qui fut à l’origine de la création de la CAVB et premier président. Trente sept années après son père, Louis-Fabrice Latour accède aussi à la présidence de l’Interprofession. [I]«Nous ne sommes pas des révolutionnaires mais des défis nous attendent avec moins de marges de manœuvre suite à l’accumulation de petites récoltes. Il faudra définir des priorités. Le rapprochement avec le Beaujolais sera peut-être un des événements marquants de notre mandature»[i], annonçait-il déjà.