Rencontre
Nouvelle recrue au service économie agricole de la DDT 89
Rencontre avec Philippe Jager qui a, depuis le 1er avril 2014, remplacé Jean-Paul Levalet à la tête du service économie agricole de la DDT.

Vétérinaire de formation, Philippe Jager est la nouvelle tête du service économie agricole de la DDT depuis quelques mois. Après avoir exercé pendant plusieurs années dans l’Yonne, et notamment, en Puisaye et sur l’Auxerrois, ce dernier intègre une administration tournée vers la santé et la protection animale dans l’Yonne, en tant que vacataire, puis en Lozère, où il a été chef de service. [I]«J’ai longtemps été intéressé par l’économie agricole et la politique publique. Cela faisait quelques années que j’étais parti en Lozère et quand le poste de Jean-Paul Levalet s’est libéré, j’ai sauté sur l’occasion. J’avais envie de revenir par ici»[i], confie Philippe Jager. Arrivé le 1er avril pour une préparation intensive avec son prédécesseur, il lui a officiellement succédé trois mois plus tard, [I]«le temps d’être là pour toutes les déclaration de la PAC»[i]. Car, justement, la PAC représente le gros du travail de son service. En effet, le service économie agricole est là pour gérer les aides du premier pilier de la PAC. [I]«L’année dernière, près de 127 millions d’euros ont été distribués dans tout le département»[i], note le chef de service.
Son rôle est également d’accompagner les agriculteurs à effectuer leur télédéclaration, dans un département où environ 99 % des exploitants utilisent Internet à cet effet. Enfin, il veille à la conditionnalité des aides, [I]«c’est-à-dire qu’on contrôle les exploitations, pour la PAC uniquement et de manière administrative. On veille également à ce qu’un agriculteur ne soit pas contrôlé plusieurs fois par divers organismes»[i], explique-t-il tout en mettant un point d’honneur à différencier [I]«contrôle»[i] et [I]«inspection»[i].
Voici dans les grandes lignes les missions qui attendent le successeur de Jean-Paul Levalet. Mais Philippe Jager souhaite continuer sur la lancée de son prédécesseur en étant le relais entre l’État et le monde agricole. [I]«Je connais quand même du monde dans le milieu agricole icaunais mais je n’ai pas le même réseau que Jean-Paul Levalet. A la rentrée, je vais donc aller à la rencontre de différentes structures»[i], déclare-t-il. Sa préoccupation première est de faire circuler l’information, de manière montante ou descendante, afin d’éviter des erreurs de compréhension [I]«qui pose parfois beaucoup de problèmes»[i] et d’avoir un système de simplification. [I]«Par exemple, dans le cas de la télédéclaration de la PAC, j’aimerais mettre en place un système de relance automatique, par SMS, afin que les agriculteurs ne soient pas pénalisés en rendant leur déclaration en retard»[i], insiste Philippe Jager.
Son rôle est également d’accompagner les agriculteurs à effectuer leur télédéclaration, dans un département où environ 99 % des exploitants utilisent Internet à cet effet. Enfin, il veille à la conditionnalité des aides, [I]«c’est-à-dire qu’on contrôle les exploitations, pour la PAC uniquement et de manière administrative. On veille également à ce qu’un agriculteur ne soit pas contrôlé plusieurs fois par divers organismes»[i], explique-t-il tout en mettant un point d’honneur à différencier [I]«contrôle»[i] et [I]«inspection»[i].
Voici dans les grandes lignes les missions qui attendent le successeur de Jean-Paul Levalet. Mais Philippe Jager souhaite continuer sur la lancée de son prédécesseur en étant le relais entre l’État et le monde agricole. [I]«Je connais quand même du monde dans le milieu agricole icaunais mais je n’ai pas le même réseau que Jean-Paul Levalet. A la rentrée, je vais donc aller à la rencontre de différentes structures»[i], déclare-t-il. Sa préoccupation première est de faire circuler l’information, de manière montante ou descendante, afin d’éviter des erreurs de compréhension [I]«qui pose parfois beaucoup de problèmes»[i] et d’avoir un système de simplification. [I]«Par exemple, dans le cas de la télédéclaration de la PAC, j’aimerais mettre en place un système de relance automatique, par SMS, afin que les agriculteurs ne soient pas pénalisés en rendant leur déclaration en retard»[i], insiste Philippe Jager.