Bienvenue à la ferme
Miel et chocolat font un tabac
Un marché de Noël était organisé la semaine dernière à la nouvelle Maison de l’agriculture.
Jeudi 10 décembre, les producteurs du réseau Bienvenue à la ferme avaient à cœur de participer à la première édition du marché de Noël de Bretenière. Ils étaient dix-huit à avoir installé leurs stands dans le hall d’entrée et une salle de réunion de la nouvelle Maison de l’agriculture. Leurs produits se sont vendus comme des petits pains, comme cela était déjà le cas chaque année au 42, rue de Mulhouse. Benoît Méot et Emmanuel Degrâce, deux des exposants, affichaient des résultats satisfaisants, similaires aux années précédentes.
Céréalier et chocolatier
«Nous avons fait aussi bien en ventes, malgré le changement d’endroit» relevait Benoît Méot, originaire de Sacquenay, «des habitués de notre ancien marché, qui ne sont pas installés aujourd’hui à Bretenière, n’ont pas hésité à se déplacer depuis Dijon. Certains nous ont passé commande et j’ai même livré avant de venir». Ce Côte d’orien de 34 ans produit environ une tonne de chocolat en fin d’année et a la particularité d’être également céréalier : «J’ai fait 10 ans de pâtisserie avant de reprendre la ferme familiale... J’ai gardé les deux activités mais je ne me consacre au chocolat qu’à partir du mois de novembre, je m’y mets dès que j’ai terminé de semer ! J’arrête en janvier car sinon, ce ne serait pas possible de cumuler les deux. Le mois de décembre représente plus de travail que la période de moissons... Ce coup de bourre s’ajoute à ceux des semis d’automne, des semis de printemps et de la récolte estivale». Benoît Méot ne participe qu’à un seul marché, celui de Noël à la Maison de l’agriculture. Le reste de sa production est vendu directement de chez lui, à Sacquenay, où se rendent des clients venant parfois de très loin.
Prévenir des grippes
L’apiculteur Emmanuel Degrâce a rencontré lui aussi un franc succès ce 10 décembre. Son miel, tout comme le chocolat de Benoît Méot, connait une période phare en cette fin d’année : «Les ventes commencent généralement de s’envoler fin septembre, début octobre. L’année 2015 ne déroge pas à la règle. Un certain nombre de personnes ont le réflexe d’en consommer en prévention de la grippe ou autre maladie de l’hiver. Le miel est également très utile en curatif, pour avoir moins mal à la gorge par exemple». Ce Dijonnais de 35 ans proposait différents produits : du miel de fleurs de printemps, provenant de nectar d’arbres fruitiers, de pissenlits ou de colza, mais aussi du miel d’acacia et du miel de fleurs d’été puisé dans des fleurs des bois et des champs, tout comme plusieurs produits dérivés du miel (hydromel, bonbons, gommes à la propolis...). «Beaucoup de monde mange du miel tous les matins sur une tartine. On l’utilise aussi en pâtisserie, dans les yaourts, tisanes ou cafés de par son excellent pouvoir sucrant» poursuit l’apiculteur de «Bienvenue à la ferme». Celui-ci possède 300 ruches réparties aux quatre coins du département. La production est très variable d’une année sur l’autre et varie entre 20 et 40 kg par ruche. La production de l’’année 2015 apparait tout a fait correcte grâce à un «beau» printemps, après deux millésimes 2013 et 2014 particulièrement décevants.
Céréalier et chocolatier
«Nous avons fait aussi bien en ventes, malgré le changement d’endroit» relevait Benoît Méot, originaire de Sacquenay, «des habitués de notre ancien marché, qui ne sont pas installés aujourd’hui à Bretenière, n’ont pas hésité à se déplacer depuis Dijon. Certains nous ont passé commande et j’ai même livré avant de venir». Ce Côte d’orien de 34 ans produit environ une tonne de chocolat en fin d’année et a la particularité d’être également céréalier : «J’ai fait 10 ans de pâtisserie avant de reprendre la ferme familiale... J’ai gardé les deux activités mais je ne me consacre au chocolat qu’à partir du mois de novembre, je m’y mets dès que j’ai terminé de semer ! J’arrête en janvier car sinon, ce ne serait pas possible de cumuler les deux. Le mois de décembre représente plus de travail que la période de moissons... Ce coup de bourre s’ajoute à ceux des semis d’automne, des semis de printemps et de la récolte estivale». Benoît Méot ne participe qu’à un seul marché, celui de Noël à la Maison de l’agriculture. Le reste de sa production est vendu directement de chez lui, à Sacquenay, où se rendent des clients venant parfois de très loin.
Prévenir des grippes
L’apiculteur Emmanuel Degrâce a rencontré lui aussi un franc succès ce 10 décembre. Son miel, tout comme le chocolat de Benoît Méot, connait une période phare en cette fin d’année : «Les ventes commencent généralement de s’envoler fin septembre, début octobre. L’année 2015 ne déroge pas à la règle. Un certain nombre de personnes ont le réflexe d’en consommer en prévention de la grippe ou autre maladie de l’hiver. Le miel est également très utile en curatif, pour avoir moins mal à la gorge par exemple». Ce Dijonnais de 35 ans proposait différents produits : du miel de fleurs de printemps, provenant de nectar d’arbres fruitiers, de pissenlits ou de colza, mais aussi du miel d’acacia et du miel de fleurs d’été puisé dans des fleurs des bois et des champs, tout comme plusieurs produits dérivés du miel (hydromel, bonbons, gommes à la propolis...). «Beaucoup de monde mange du miel tous les matins sur une tartine. On l’utilise aussi en pâtisserie, dans les yaourts, tisanes ou cafés de par son excellent pouvoir sucrant» poursuit l’apiculteur de «Bienvenue à la ferme». Celui-ci possède 300 ruches réparties aux quatre coins du département. La production est très variable d’une année sur l’autre et varie entre 20 et 40 kg par ruche. La production de l’’année 2015 apparait tout a fait correcte grâce à un «beau» printemps, après deux millésimes 2013 et 2014 particulièrement décevants.
