Chambre d’agriculture
Le tiercé gagnant ?
Les membres du bureau réfléchissent à une nouvelle approche économique en faveur des exploitations.
[I]«Il existe trois leviers pour dégager du revenu dans les exploitations»[i] indique Vincent Lavier, [I]«la Chambre s’investit énormément sur deux d’entre eux, mais peut-être un peu moins sur le troisième. Lors de notre réunion du 7 avril, les membres du bureau ont émis le souhait d’améliorer ce dernier point»[i]. Le président de la Chambre d’agriculture de Côte d’Or développe son propos : [I]«Le premier volet concerne les coûts de production et l’optimisation des charges. Nos actions sont ici très nombreuses. Le second volet s’intéresse aux divers soutiens économiques des exploitations. Nous nous battons constamment dans ce domaine, comme par exemple à chaque réforme de la Pac. Le troisième volet, celui sur lequel nous voulons davantage nous concentrer, est celui de la valorisation des produits»[i].
[INTER]Rencontres en vue[inter]
Les membres du bureau et leur président dressent le constat suivant : cette valorisation de la production est une mission qui a été intégralement confiée aux organismes économiques tels que les organisations de producteurs ou les organismes stockeurs. [I]«Notre objectif n’est pas d’inverser les rôles»[i] précise Vincent Lavier, [I]«nous voulons simplement intensifier nos échanges avec ces OP et ces OS pour être davantage en phase avec les marchés et devenir ainsi plus performants sur le terrain auprès des agriculteurs. Nous avons besoin de connaître plus facilement les besoins des marchés, les prospectives sur lesquelles ces organismes travaillent... Cela se fait déjà de manière informelle, mais nous voulons que cela devienne systématique. Un exemple ? Le président de Val Union est récemment venu à notre réunion de bureau. Nous avons été informés du travail mené sur la production de maïs semences. Il est bon que nos techniciens soient au courant le plus vite possible pour pouvoir répondre aux questions sur le terrain. Nous allons, à l’avenir, rencontrer d’autres organismes économiques et les solliciter à nos réunions. La Chambre peut, à sa manière, accompagner le mouvement»[i].
[INTER]Rencontres en vue[inter]
Les membres du bureau et leur président dressent le constat suivant : cette valorisation de la production est une mission qui a été intégralement confiée aux organismes économiques tels que les organisations de producteurs ou les organismes stockeurs. [I]«Notre objectif n’est pas d’inverser les rôles»[i] précise Vincent Lavier, [I]«nous voulons simplement intensifier nos échanges avec ces OP et ces OS pour être davantage en phase avec les marchés et devenir ainsi plus performants sur le terrain auprès des agriculteurs. Nous avons besoin de connaître plus facilement les besoins des marchés, les prospectives sur lesquelles ces organismes travaillent... Cela se fait déjà de manière informelle, mais nous voulons que cela devienne systématique. Un exemple ? Le président de Val Union est récemment venu à notre réunion de bureau. Nous avons été informés du travail mené sur la production de maïs semences. Il est bon que nos techniciens soient au courant le plus vite possible pour pouvoir répondre aux questions sur le terrain. Nous allons, à l’avenir, rencontrer d’autres organismes économiques et les solliciter à nos réunions. La Chambre peut, à sa manière, accompagner le mouvement»[i].
