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Ovins

Le loup et ses « dégâts collatéraux »

La dernière assemblée générale du Syndicat d'élevage ovin de Côte-d'Or aura permis d'entendre Claude Font, secrétaire général de la Fédération nationale ovine en charge du dossier prédation. La question des pertes indirectes liées à la prédation semble être mieux prise en compte mais du travail reste à faire…

Par Berty Robert
Le loup et ses « dégâts collatéraux »
Julien Pané, président du Syndicat d'élevage ovin de Côte-d'Or (à gauche), en compagnie de Claude Font, en charge du dossier Prédation au sein de la Fédération nationale ovine.

Situation sanitaire, cours de la viande et prédation due au loup : voici les thèmes qui auront traversé la dernière assemblée générale du Syndicat d'élevage ovin de Côte-d'Or (SDEO 21), organisée le 25 septembre au Muséoparc d'Alésia, à Alise-Sainte-Reine. Dans ce lieu chargé d'histoire, c'est avec un présent pas toujours rose que les éleveurs réunis doivent composer et la prédation figure au premier rang des préoccupations. La présence, aux côtés du président du SDEO 21, Julien Pané, de Claude Font, était symptomatique. Cet éleveur d'Auvergne Rhône-Alpes (Aura), est secrétaire général de la Fédération nationale ovine, en charge du dossier Prédation. Les messages qu'il pouvait délivrer à cette occasion faisaient l'objet de toutes les attentions. « L'évolution du statut du loup d'espèce strictement protégée à espèce protégée est déjà une avanc&ea...

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