Marché au cadran
La Sicafome toujours leader
Dernièrement, la Sicafome s'est réunie en assemblée générale. 2008 apparaît comme une année record, suite au report des animaux de l'année précédente, du fait des conséquences de la FCO.
En dépit d'une restriction des exportations, 2008 a connu une forte progression des apports. Le nombre de bovins présentés à la Sicafome s'élève à 67 764, soit une progression de 24%. Les ventes ont augmenté de 23%, avec 60 731 bovins vendus. Mais le prix moyen par bovin est encore à la baisse (42 euros), ce qui représente 72 euros sur deux ans. Il se situe à 904 euros, équivalent au tarif de l'année 2000. Tandis que le taux de pénétration des bêtes d'élevage est en nette progression, le pourcentage d'animaux de commerçants est en baisse de 25 à 30%.
L'activité ovine se maintient.
21 912 moutons ont été présentés et 21 247 ont été vendus, pour un prix moyen de 91 euros, en progression de 6 euros. Les apporteurs d'ovins sont plus fidèles. Ils ont des troupes plus importantes car les petites ont disparu suite à la FCO. La Sicafome a choisi d'organiser un marché ovin tous les 15 jours, sauf en novembre (un marché par semaine) pour les fêtes musulmanes.
La Sicafome s'affirme toujours le leader des marchés au cadran. Pour conserver cette place, le marché a vu naître une seconde salle des ventes. Personnels et agriculteurs doivent encore s'adapter à ce système. Les prochaines réalisations concerneront les parkings, afin d'assurer une meilleure fluidité des embarquements et débarquements d'animaux. Mais les possibilités d'agrandissement du marché risquent d'être vite limitées par les nombreuses habitations qui occupent les terrains constructibles.
Cette année, était une année élective pour la Sicafome : Agnès Brocard, Pierre Brossard, Bernard Detronchet, Bernard Gauthier, Serge Jonnet, Gérard Laudet et Bruno Plantard, ont été élus.
[INTER]Une référence pour le prix de vente[inter]
Ouessale El Assimi, étudiante en BTS Productions Animales dans l'Orne, a mené une enquête sur les marchés au cadran. Cette enquête rélève les bonnes conditions de réussite du marché aux bestiaux et présente les atouts et les contraintes de l'activité. D'autres points ont aussi été évoqués, comme les craintes de chacun vis-àvis de la concurrence, les menaces toujours présentes de la FCO ou les risques d'affronter un jour ou l'autre une nouvelle crise sanitaire. Autre préoccupation pour l'avenir des marchés : le vieillissement des opérateurs, la baisse de représentativité des cotations et l'absence des éleveurs sur les marchés de gré à gré.
Toutefois, pour les opérateurs comme pour les agriculteurs, garder l'activité des marchés au cadran s'affirme comme une nécessité car c'est un repère de prix de vente.
L'activité ovine se maintient.
21 912 moutons ont été présentés et 21 247 ont été vendus, pour un prix moyen de 91 euros, en progression de 6 euros. Les apporteurs d'ovins sont plus fidèles. Ils ont des troupes plus importantes car les petites ont disparu suite à la FCO. La Sicafome a choisi d'organiser un marché ovin tous les 15 jours, sauf en novembre (un marché par semaine) pour les fêtes musulmanes.
La Sicafome s'affirme toujours le leader des marchés au cadran. Pour conserver cette place, le marché a vu naître une seconde salle des ventes. Personnels et agriculteurs doivent encore s'adapter à ce système. Les prochaines réalisations concerneront les parkings, afin d'assurer une meilleure fluidité des embarquements et débarquements d'animaux. Mais les possibilités d'agrandissement du marché risquent d'être vite limitées par les nombreuses habitations qui occupent les terrains constructibles.
Cette année, était une année élective pour la Sicafome : Agnès Brocard, Pierre Brossard, Bernard Detronchet, Bernard Gauthier, Serge Jonnet, Gérard Laudet et Bruno Plantard, ont été élus.
[INTER]Une référence pour le prix de vente[inter]
Ouessale El Assimi, étudiante en BTS Productions Animales dans l'Orne, a mené une enquête sur les marchés au cadran. Cette enquête rélève les bonnes conditions de réussite du marché aux bestiaux et présente les atouts et les contraintes de l'activité. D'autres points ont aussi été évoqués, comme les craintes de chacun vis-àvis de la concurrence, les menaces toujours présentes de la FCO ou les risques d'affronter un jour ou l'autre une nouvelle crise sanitaire. Autre préoccupation pour l'avenir des marchés : le vieillissement des opérateurs, la baisse de représentativité des cotations et l'absence des éleveurs sur les marchés de gré à gré.
Toutefois, pour les opérateurs comme pour les agriculteurs, garder l'activité des marchés au cadran s'affirme comme une nécessité car c'est un repère de prix de vente.