Vœux 2016
La MSA Bourgogne n’a pas failli à sa mission
La cérémonie des vœux de la Mutualité Sociale Agricole s’est déroulée la semaine dernière à Dijon.
Dominique Bossong et Jean Boissière, président et directeur respectifs de la MSA Bourgogne, ont adressé leurs vœux de la nouvelle année au personnel de Côte d’Or jeudi 7 janvier. Dominique Bossong a profité de l’occasion pour revenir sur une année 2015 «encore très difficile» pour de nombreuses productions : «Nos services ont du faire face à un afflux de demandes d’aides sous la forme d’échéanciers de paiement, de prises en charge partielles des cotisations, de demandes de passage de la moyenne triennale à l’année N-1 pour le calcul des cotisations, dans un temps très limité. Je veux remercier toutes les personnes qui ont traité l’ensemble des dossiers. Une fois encore, la MSA Bourgogne n’a pas failli à sa mission d’accompagnement social de ses ressortissants victimes d’aléas climatiques ou économiques. En temps que président, je me félicite de ces actions menées mais je préfèrerais de beaucoup que la santé de l’agriculture bourguignonne soit bien meilleure».
Mutualisations en cours
Dominique Bossong a ensuite évoqué la loi Notre, nouvelle organisation territoriale de la république, qui regroupe tous les services de l’État au sein de la nouvelle région Bourgogne Franche Comté. La recherche de toutes les mutualisations possibles entre les deux caisses de la MSA est entamée dans le but de maintenir la qualité de services et la proximité aux ressortissants: «nous nous mobilisons pour que ce dossier important avance à un rythme soutenu dans les meilleures conditions de réussite, l’implication forte de tous constitue un élément majeur pour atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés. Même si ces périodes de changements peuvent générer de l’inquiétude, elles sont également porteuses de nouvelles opportunités».
Une baisse de moyens ?
Le directeur Jean Boissière est lui aussi revenu sur l’année 2015 en soulignant une amélioration des résultats techniques et en saluant le professionnalisme des salariés devant bon nombre d’évènements survenus au cours de l’année (travaux relatifs aux dispositifs pré et post électoral, prise en compte des évolutions législatives, changement de téléphonie, accompagnements des auditeurs, dispositifs des crises agricoles, journées portes ouvertes, développement d’un nouvel outil comptable). Jean Boissière n’a pas caché la négociation de la COG qui déterminera les moyens alloués aux caisses pour la période 2016-2020 : «au moment où nous parlons, les premières tendances ne sont pas à l’optimisme, bien au contraire, les ministères de tutelle proposent une réduction des effectifs sur la période, dont il conviendra de préciser si elle est de quatre ou cinq ans, très éloignée de la proposition de la caisse centrale, et une réduction des autres charges de fonctionnements compris entre 15 et 20%».
Mutualisations en cours
Dominique Bossong a ensuite évoqué la loi Notre, nouvelle organisation territoriale de la république, qui regroupe tous les services de l’État au sein de la nouvelle région Bourgogne Franche Comté. La recherche de toutes les mutualisations possibles entre les deux caisses de la MSA est entamée dans le but de maintenir la qualité de services et la proximité aux ressortissants: «nous nous mobilisons pour que ce dossier important avance à un rythme soutenu dans les meilleures conditions de réussite, l’implication forte de tous constitue un élément majeur pour atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés. Même si ces périodes de changements peuvent générer de l’inquiétude, elles sont également porteuses de nouvelles opportunités».
Une baisse de moyens ?
Le directeur Jean Boissière est lui aussi revenu sur l’année 2015 en soulignant une amélioration des résultats techniques et en saluant le professionnalisme des salariés devant bon nombre d’évènements survenus au cours de l’année (travaux relatifs aux dispositifs pré et post électoral, prise en compte des évolutions législatives, changement de téléphonie, accompagnements des auditeurs, dispositifs des crises agricoles, journées portes ouvertes, développement d’un nouvel outil comptable). Jean Boissière n’a pas caché la négociation de la COG qui déterminera les moyens alloués aux caisses pour la période 2016-2020 : «au moment où nous parlons, les premières tendances ne sont pas à l’optimisme, bien au contraire, les ministères de tutelle proposent une réduction des effectifs sur la période, dont il conviendra de préciser si elle est de quatre ou cinq ans, très éloignée de la proposition de la caisse centrale, et une réduction des autres charges de fonctionnements compris entre 15 et 20%».
