Technopôle agro-environnement
L’avenir agricole aux portes de Dijon
Les rencontres techniques du technopôle agro-environnement se sont déroulées mercredi 4 juin à Varois-et-Chaignot. Grosse participation pour ce rendez-vous de l’agriculture de demain.

L’évènement a rassemblé près de 500 visiteurs sur 8ha de parcelles prêtées par l’EARL Boussageon : agriculteurs et techniciens agricoles, industriels de la filière agroalimentaire mais aussi représentants du monde socio-économique, des administrations.
Le président du Conseil Régional, François Patriat, avait inscrit la visite à son agenda comme le maire de Varois Vincent Delatte. A travers ces journées techniques, Dijon Céréales, son service technique et ses partenaires ouvrent la voie d’une agriculture qui allie au mieux production, rentabilité économique et respect du milieu. [I]«Ces essais, en zone péri-urbaine du Grand Dijon, montrent notre préoccupation d’une agriculture qui tient sa juste place au cœur de la société, pour alimenter en quantité et qualité les bassins de population»[i] résume Pierre Guez, directeur général de Dijon Céréales.
A travers une vingtaine d’ateliers thématiques et pédagogiques, mais aussi 2 200 micro-parcelles d’essais et 400 variétés présentées, cette plateforme a montré les chemins que prend l’agriculture de demain…dès aujourd’hui. La voie de la précision avec le géoguidage par satellite et la modulation des traitements en fonction des zones de potentiel de la parcelle. La voie des cultures légumineuses et protéagineuses pour allonger les rotations classiques (colza, blé, orge) et limiter par exemple les résistances aux maladies. A Varois, il a été question du développement de la luzerne et de son introduction prolifique dans la rotation (apport naturel d’azote, structuration des sols…) sans oublier sa valorisation en alimentation animale. Le programme Leg’Up a été présenté. Soutenu par Vitagora, il vise à développer des débouchés pour les légumineuses cultivées en les intégrant à nos aliments de demain.
[INTER]Des produits et des marchés[inter]
Les biocontrôles, des techniques de maîtrise des parasites des plantes qui reposent sur des mécanismes naturels (insectes, micro-organismes ou phéromones) étaient aussi à l’honneur. Encore des plantes et des insectes avec les bandes mélifères qui, installées près des parcelles de colza, doivent faciliter leur pollinisation. Enfin, ces rencontres l’ont bien rappelé, produire sans marchés et débouchés n’est rien. La filière meunerie (Dijon Céréales Meunerie) a présenté ses activités et son rôle d’intermédiaire entre l’amont et l’aval. [I]«Chaque acteur de la fillière blé-farine-pain contribue à la satisfaction du consommateur final. C’est toujours très intéressant de discuter de nos besoins de transformateurs en direct avec les producteurs»[i] explique Stève Durand, directeur commercial de Dijon Céréales Meunerie.
Les partenaires de Dijon Céréales : La Chambre d’agriculture de Côte-d’Or, les instituts techniques de la filière (Arvalis, Cetiom), les organismes de la recherche publique (INRA) et le technopôle agro-environnement Agronov® de Bretenière, mais aussi le pôle de compétitivité Vitagora® et Artémis.
Le président du Conseil Régional, François Patriat, avait inscrit la visite à son agenda comme le maire de Varois Vincent Delatte. A travers ces journées techniques, Dijon Céréales, son service technique et ses partenaires ouvrent la voie d’une agriculture qui allie au mieux production, rentabilité économique et respect du milieu. [I]«Ces essais, en zone péri-urbaine du Grand Dijon, montrent notre préoccupation d’une agriculture qui tient sa juste place au cœur de la société, pour alimenter en quantité et qualité les bassins de population»[i] résume Pierre Guez, directeur général de Dijon Céréales.
A travers une vingtaine d’ateliers thématiques et pédagogiques, mais aussi 2 200 micro-parcelles d’essais et 400 variétés présentées, cette plateforme a montré les chemins que prend l’agriculture de demain…dès aujourd’hui. La voie de la précision avec le géoguidage par satellite et la modulation des traitements en fonction des zones de potentiel de la parcelle. La voie des cultures légumineuses et protéagineuses pour allonger les rotations classiques (colza, blé, orge) et limiter par exemple les résistances aux maladies. A Varois, il a été question du développement de la luzerne et de son introduction prolifique dans la rotation (apport naturel d’azote, structuration des sols…) sans oublier sa valorisation en alimentation animale. Le programme Leg’Up a été présenté. Soutenu par Vitagora, il vise à développer des débouchés pour les légumineuses cultivées en les intégrant à nos aliments de demain.
[INTER]Des produits et des marchés[inter]
Les biocontrôles, des techniques de maîtrise des parasites des plantes qui reposent sur des mécanismes naturels (insectes, micro-organismes ou phéromones) étaient aussi à l’honneur. Encore des plantes et des insectes avec les bandes mélifères qui, installées près des parcelles de colza, doivent faciliter leur pollinisation. Enfin, ces rencontres l’ont bien rappelé, produire sans marchés et débouchés n’est rien. La filière meunerie (Dijon Céréales Meunerie) a présenté ses activités et son rôle d’intermédiaire entre l’amont et l’aval. [I]«Chaque acteur de la fillière blé-farine-pain contribue à la satisfaction du consommateur final. C’est toujours très intéressant de discuter de nos besoins de transformateurs en direct avec les producteurs»[i] explique Stève Durand, directeur commercial de Dijon Céréales Meunerie.
Les partenaires de Dijon Céréales : La Chambre d’agriculture de Côte-d’Or, les instituts techniques de la filière (Arvalis, Cetiom), les organismes de la recherche publique (INRA) et le technopôle agro-environnement Agronov® de Bretenière, mais aussi le pôle de compétitivité Vitagora® et Artémis.