Élevage
Ils vous proposent de progresser
Bovins Croissance vient d’organiser une journée d’activités. L’occasion de rappeler les multiples avantages apportés aux éleveurs.

L’an passé, 159 exploitations du département ont fait appel aux services de Bovins Croissance. Six nouveaux adhérents sont même venus s’ajouter à la liste depuis le 1er janvier. [I]«Il faut continuer dans ce sens»[i] insiste le président Jean-Pierre Godot, [I]«Bovins Croissance est un outil qui permet d’être au point techniquement. On s’y retrouve rapidement sur le plan économique»[i]. La technicienne Laurène Porcheret à rappelé les principaux axes de développement lors de la journée d’activités organisée mardi 25 mars à Thoisy-le-Désert, dans le canton de Pouilly-en-Auxois : [I]«Adhérer à Bovins croissance, c’est optimiser la conduite technico-économique de son troupeau, c’est aussi bénéficier d’un appui personnalisé dans son projet et disposer d’une génétique adaptée à nos systèmes d’exploitation»[i].
[INTER]Les jeunes principalement ciblés[inter]
La marge de progression de Bovins croissance est [I]«énorme»[i] selon son président : [I]«seulement 17% des élevages de Côte d’Or sont aujourd’hui adhérents. Nous sommes au même niveau que la moyenne nationale : autant dire qu’il y a beaucoup de travail à faire, notamment en terme de communication»[i]. L’organisme vise principalement les plus jeunes et ce, dès leur scolarisation. [I]«Leur parler de génétique est primordial. Les investissements financiers de la génétique ne sont pas importants, contrairement à l’économie qu’elle peut générer sur l’exploitation. Quand on a des animaux avec du potentiel de croissance et des facilités de naissance, cela change tout. Il faut juste prendre le temps de se contrôler, de se comparer aux autres élevages et donc de s’améliorer!»[i] signale Jean-Pierre Godot, informant que cette communication auprès des jeunes sera assurée par la commission génétique de Bourgogne.
[INTER]Les techniciens s’adaptent[inter]
Le coût de l’adhésion à Bovins Croissance, de l’ordre de 1000 euros aux 100 vaches, ne serait pas la principale raison du nombre encore trop important de non adhérents. La contrainte des pesées -qui n’en serait pas forcément une- dissuaderait plus d’un éleveur. Laurène Porcheret souhaite démystifier cette idée : [I]«nous savons nous adapter pour la pesée d’été qui intervient en pleine moisson. Bovins Croissance n’est pas là pour embêter les professionnels dans leur travail, bien au contraire ! Il ne faut surtout pas hésiter à nous contacter pour aborder le sujet et voir ensemble ce que l’on peut faire»[i]. Toujours dans le domaine de la pesée, une démonstration de matériel innovant était proposée lors de cette journée d’activités. Ludovic Roy, éleveur au Gaec de l’Armançon, a reçu les 25 visiteurs sur son exploitation et a présenté un dispositif de pesage automatique avec lecture de boucles électroniques : [I]«Le poids et le numéro de chaque bovin sont enregistrés automatiquement. C’est un dispositif tout récent, qui était encore au stade prototype il y a trois ans. Il est juste en démonstration ici durant quelques jours. Le principe est intéressant car il enlève la contrainte de la pesée, mais l’investissement est élevé avec ses 7200 euros hors taxes»[i]. Contact pour informations sur Bovins Croissance : Laurène Porcheret au 06 85 25 61 00.
[INTER]Les jeunes principalement ciblés[inter]
La marge de progression de Bovins croissance est [I]«énorme»[i] selon son président : [I]«seulement 17% des élevages de Côte d’Or sont aujourd’hui adhérents. Nous sommes au même niveau que la moyenne nationale : autant dire qu’il y a beaucoup de travail à faire, notamment en terme de communication»[i]. L’organisme vise principalement les plus jeunes et ce, dès leur scolarisation. [I]«Leur parler de génétique est primordial. Les investissements financiers de la génétique ne sont pas importants, contrairement à l’économie qu’elle peut générer sur l’exploitation. Quand on a des animaux avec du potentiel de croissance et des facilités de naissance, cela change tout. Il faut juste prendre le temps de se contrôler, de se comparer aux autres élevages et donc de s’améliorer!»[i] signale Jean-Pierre Godot, informant que cette communication auprès des jeunes sera assurée par la commission génétique de Bourgogne.
[INTER]Les techniciens s’adaptent[inter]
Le coût de l’adhésion à Bovins Croissance, de l’ordre de 1000 euros aux 100 vaches, ne serait pas la principale raison du nombre encore trop important de non adhérents. La contrainte des pesées -qui n’en serait pas forcément une- dissuaderait plus d’un éleveur. Laurène Porcheret souhaite démystifier cette idée : [I]«nous savons nous adapter pour la pesée d’été qui intervient en pleine moisson. Bovins Croissance n’est pas là pour embêter les professionnels dans leur travail, bien au contraire ! Il ne faut surtout pas hésiter à nous contacter pour aborder le sujet et voir ensemble ce que l’on peut faire»[i]. Toujours dans le domaine de la pesée, une démonstration de matériel innovant était proposée lors de cette journée d’activités. Ludovic Roy, éleveur au Gaec de l’Armançon, a reçu les 25 visiteurs sur son exploitation et a présenté un dispositif de pesage automatique avec lecture de boucles électroniques : [I]«Le poids et le numéro de chaque bovin sont enregistrés automatiquement. C’est un dispositif tout récent, qui était encore au stade prototype il y a trois ans. Il est juste en démonstration ici durant quelques jours. Le principe est intéressant car il enlève la contrainte de la pesée, mais l’investissement est élevé avec ses 7200 euros hors taxes»[i]. Contact pour informations sur Bovins Croissance : Laurène Porcheret au 06 85 25 61 00.