«La maison des éleveurs, bœuf pleine herbe»
Feder lance sa propre marque éleveur
A la croisée des attentes des consommateurs et de la juste rémunération d’une production de qualité pour les éleveurs, Feder lance sa marque éleveur : « La maison des éleveurs, boeuf pleine herbe ». L’occasion d’allier la force du collectif à l’efficacité de l’image de l’élevage à l’herbe pour emporter l’adhésion des consommateurs.

Le lancement officiel de la marque éleveur de l’union Feder s’est fait lors du Sommet de l’élevage à Cournon. Alors que la filière bovine allaitante reste à la peine et cherche des éléments de différenciation sur des marchés globalisés où le 1er prix tire l’ensemble des segments vers le bas, Feder lance sa propre marque éleveur : «La maison des éleveurs, bœuf pleine herbe». Une marque en forme de promesse qui met en phase les attentes des consommateurs avec la nécessaire amélioration du revenu des éleveurs.
Au travers de cette nouvelle marque, il s’agit de mettre en avant les atouts distinctifs des élevages à l’herbe, le savoir-faire des producteurs et une recherche qualitative optimale. La démarche s’appuie sur une enquête fouillée portant sur les produits carnés, les habitudes d’achat et les attentes des consommateurs. Sans surprise, les consommateurs dans leur grande majorité ont une image positive de la viande, considérée comme un aliment sain, associé au plaisir gustatif. Cette bonne image et le capital sympathie accordé aux éleveurs se renforcent mutuellement. L’origine locale devient ainsi le premier critère de qualité, tout comme le mode d’alimentation. L’élevage à l’herbe et les fourrages distribués par les éleveurs confortent ce critère qualité. D’où le choix de la marque «La maison des éleveurs, bœuf plein herbe».
Sous les pavés la plage... et sous la marque l’assurance pour le consommateur de critères objectifs et d’un engagement collectif pour la qualité : un bovin de race à viande ou croisée viande (génisse 380 kg ou vache de 420 kg), né, élevé et engraissé dans la zone Feder, selon les critères du bien-être animal (plein air en saison, à l’abri en hiver), nourris à l’herbe à 80% et finission à base d’herbe, avec une limitation des produits d’ensilages, sans OGM et sans urée. Sur la fiche signalétique, la photo de l’éleveur complètera le tout et un QR code (équivalent fash code) permettra d’aller plus loin sur le lieu et le mode d’élevage. La promesse d’une «viande savoureuse, unique en goût et tendre d’un bœuf herbager pour un plaisir partagé» et d’une «juste rémunération à l’éleveur» soutient la démarche.
Dans un premier temps, Feder mise sur 25 animaux par semaine, mais tout reste à faire encore dans cette phase de démarrage et de prise de contact avec les différents partenaires commerciaux.
Pour Feder, cette marque ne se surajoute pas aux autres marques et signes de qualité, la démarche est exigeante sur le plan qualitatif et elle comporte des éléments de différenciations dans lesquels des signes de qualité ou des labels peuvent tout-à-fait s’intrégrer. L’important étant, que le consommateur comprenne les atouts distinctifs de l’élevage à l’herbe et l’engagement d’une structure coopérative comme Feder, à répondre point par point à toutes ses attentes. Au consommateur maintenant de passer du discours aux actes, en acceptant de payer un peu plus cher son morceau de viande préféré...
Au travers de cette nouvelle marque, il s’agit de mettre en avant les atouts distinctifs des élevages à l’herbe, le savoir-faire des producteurs et une recherche qualitative optimale. La démarche s’appuie sur une enquête fouillée portant sur les produits carnés, les habitudes d’achat et les attentes des consommateurs. Sans surprise, les consommateurs dans leur grande majorité ont une image positive de la viande, considérée comme un aliment sain, associé au plaisir gustatif. Cette bonne image et le capital sympathie accordé aux éleveurs se renforcent mutuellement. L’origine locale devient ainsi le premier critère de qualité, tout comme le mode d’alimentation. L’élevage à l’herbe et les fourrages distribués par les éleveurs confortent ce critère qualité. D’où le choix de la marque «La maison des éleveurs, bœuf plein herbe».
Sous les pavés la plage... et sous la marque l’assurance pour le consommateur de critères objectifs et d’un engagement collectif pour la qualité : un bovin de race à viande ou croisée viande (génisse 380 kg ou vache de 420 kg), né, élevé et engraissé dans la zone Feder, selon les critères du bien-être animal (plein air en saison, à l’abri en hiver), nourris à l’herbe à 80% et finission à base d’herbe, avec une limitation des produits d’ensilages, sans OGM et sans urée. Sur la fiche signalétique, la photo de l’éleveur complètera le tout et un QR code (équivalent fash code) permettra d’aller plus loin sur le lieu et le mode d’élevage. La promesse d’une «viande savoureuse, unique en goût et tendre d’un bœuf herbager pour un plaisir partagé» et d’une «juste rémunération à l’éleveur» soutient la démarche.
Dans un premier temps, Feder mise sur 25 animaux par semaine, mais tout reste à faire encore dans cette phase de démarrage et de prise de contact avec les différents partenaires commerciaux.
Pour Feder, cette marque ne se surajoute pas aux autres marques et signes de qualité, la démarche est exigeante sur le plan qualitatif et elle comporte des éléments de différenciations dans lesquels des signes de qualité ou des labels peuvent tout-à-fait s’intrégrer. L’important étant, que le consommateur comprenne les atouts distinctifs de l’élevage à l’herbe et l’engagement d’une structure coopérative comme Feder, à répondre point par point à toutes ses attentes. Au consommateur maintenant de passer du discours aux actes, en acceptant de payer un peu plus cher son morceau de viande préféré...