Une journée technique de la Chambre d’agriculture le 24 mars
Exemples d’innovations en fertilisation azotée
L’équipe grandes cultures de la Chambre d’agriculture organise, le 24 mars à Bazolles (lieu-dit Poujeux), une journée technique sur le thème «azote et protéines: les innovations dans le raisonnement de la fertilisation azotée».
Parce que le pilotage de la fertilisation azotée se révèle de plus en plus complexe, avec des implications environnementales et économiques de plus en plus strictes, et que l’hétérogénéité des parcelles rend le calcul de la dose d’azote de plus en plus difficile, l’équipe grandes cultures de la Chambre d’agriculture de la Nièvre a souhaité mettre en place une journée technique de démonstrations de ce qui se fait de plus innovant en la matière.
Le 24 mars, à Bazolles, sera donc consacré principalement à la présentation de deux matériels de pointe, l’un constitué de capteurs avec caméras embarquées à bord du tracteur, l’autre étant un drone équipé de caméras. Pour rendre la journée plus vivante, les techniciens ont invité les responsables des sociétés Yara et Airinov, qui les fabriquent, à en faire des démonstrations réelles, le tout pour mieux comprendre quels peuvent être les applications, les perspectives et les intérêts de ces outils en agriculture. Selon la Chambre, [I]«les nouvelles technologies faisant appel à l’imagerie aérienne ou satellitaire peuvent apporter une aide précieuse »[i], ce qui permet d’optimiser la fertilisation tout en préservant le rendement et la qualité du grain.
Les conseillers citent l’exemple, non exclusif, des bassins d’alimentation de captage ou ce raisonnement de la fertilisation azotée [I]«revêt tout son intérêt car il faut, en plus, limiter l’impact des apports sur le milieu»[i].
L’objectif de la journée, introduite dès 9h30 par Benoît Mathé, président de la Commission grandes cultures, est donc de présenter, aux champs, à la fois [I]«les innovations en matière d’équipements optiques et d’illustrer leurs applications dans le raisonnement de la fertilisation azotée, puis en fin d’après-midi, la synthèse des essais fertilisation azotée réalisés par la Chambre d’agriculture»[i] (effet sur le rendement et la qualité).
Le tout, illustré par les commentaires des conseillers de la Chambre, vise à permettre aux agriculteurs concernés de faire les bons choix d’investissement et d’obtenir des gains technico-économiques conséquents tout en préservant les capacités de production.
Le 24 mars, à Bazolles, sera donc consacré principalement à la présentation de deux matériels de pointe, l’un constitué de capteurs avec caméras embarquées à bord du tracteur, l’autre étant un drone équipé de caméras. Pour rendre la journée plus vivante, les techniciens ont invité les responsables des sociétés Yara et Airinov, qui les fabriquent, à en faire des démonstrations réelles, le tout pour mieux comprendre quels peuvent être les applications, les perspectives et les intérêts de ces outils en agriculture. Selon la Chambre, [I]«les nouvelles technologies faisant appel à l’imagerie aérienne ou satellitaire peuvent apporter une aide précieuse »[i], ce qui permet d’optimiser la fertilisation tout en préservant le rendement et la qualité du grain.
Les conseillers citent l’exemple, non exclusif, des bassins d’alimentation de captage ou ce raisonnement de la fertilisation azotée [I]«revêt tout son intérêt car il faut, en plus, limiter l’impact des apports sur le milieu»[i].
L’objectif de la journée, introduite dès 9h30 par Benoît Mathé, président de la Commission grandes cultures, est donc de présenter, aux champs, à la fois [I]«les innovations en matière d’équipements optiques et d’illustrer leurs applications dans le raisonnement de la fertilisation azotée, puis en fin d’après-midi, la synthèse des essais fertilisation azotée réalisés par la Chambre d’agriculture»[i] (effet sur le rendement et la qualité).
Le tout, illustré par les commentaires des conseillers de la Chambre, vise à permettre aux agriculteurs concernés de faire les bons choix d’investissement et d’obtenir des gains technico-économiques conséquents tout en préservant les capacités de production.
