Prix de la Dynamique Agricole
Des icaunais à l’honneur
La Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté a primé et mis à l’honneur des icaunais, le 31 janvier dernier, lors de la cérémonie du Prix régional de la dynamique agricole

Pour le 10ème anniversaire du prix, la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté avait choisi un lieu prestigieux, le château du Clos de Vougeot et une invitée de marque, en la personne de Marine Lorphelin, Miss France 2013 et 1ère dauphine à l’élection de Miss Monde la même année. La remise des prix de la dynamique agricole, s’est faite en présence également de Bruno Duchesne, directeur général de la banque régionale.
Pour l’année 2013, les 10 lauréats régionaux ont été élus parmi 40 dossiers, par un jury composé de représentants de la profession agricole. Plusieurs catégories sont en lice : agriculture durable, innovation, valorisation et savoir-faire technique, initiative collective et création d’entreprise. C’est dans cette dernière catégorie, qu’a été distinguée la SCEA de Champgrand, à Saint-Valérien. Non issu du monde agricole, Jean-Sébastien Perret s’est installé en 2004 sur cette exploitation céréalière de 75 ha. Après avoir développé au fil des années la SAU, pour en arriver à 269 ha, il se lance en 2013 dans la diversification de production en construisant un poulailler, en collaboration avec son épouse Émilie. Adeptes de la culture raisonnée, ils sont aujourd’hui à la tête d’une exploitation céréalière solide, primant l’amour du travail bien fait. Une structure familiale promise à un bel avenir, d’autant que les projets de développement ne manquent pas : reprendre des terres et construire d’autres poulaillers !
Autres icaunais primés, en catégorie innovation cette fois-ci : Olivier et Thierry Breton, créateurs et exploitants du [I]«Poney Club des 4 Saisons»[i] à Epineau les Voves : parisiens d’origine, ces frères jumeaux se sont installés en 1975, à l’âge de 20 ans, comme [I]«petits agriculteurs»[i] dans une ferme, à Epineau les Voves, dotée de quelques ha agricoles. Dans l’impossibilité de développer leur exploitation, ils décident un an plus tard, en autodidactes, de créer une école d’équitation [I]«à hauteur d’enfant»[i], un concept novateur à l’époque, avec l’objectif de démocratiser l’équitation. Ils acquièrent pour cela des poneys rustiques, pour mettre à disposition d’enfants habitant la ville ou la province, un maximum d’éléments leur permettant de découvrir le beau et le vrai, dans un environnement agréable, favorisant le contact avec la nature et les animaux.
Pour l’année 2013, les 10 lauréats régionaux ont été élus parmi 40 dossiers, par un jury composé de représentants de la profession agricole. Plusieurs catégories sont en lice : agriculture durable, innovation, valorisation et savoir-faire technique, initiative collective et création d’entreprise. C’est dans cette dernière catégorie, qu’a été distinguée la SCEA de Champgrand, à Saint-Valérien. Non issu du monde agricole, Jean-Sébastien Perret s’est installé en 2004 sur cette exploitation céréalière de 75 ha. Après avoir développé au fil des années la SAU, pour en arriver à 269 ha, il se lance en 2013 dans la diversification de production en construisant un poulailler, en collaboration avec son épouse Émilie. Adeptes de la culture raisonnée, ils sont aujourd’hui à la tête d’une exploitation céréalière solide, primant l’amour du travail bien fait. Une structure familiale promise à un bel avenir, d’autant que les projets de développement ne manquent pas : reprendre des terres et construire d’autres poulaillers !
Autres icaunais primés, en catégorie innovation cette fois-ci : Olivier et Thierry Breton, créateurs et exploitants du [I]«Poney Club des 4 Saisons»[i] à Epineau les Voves : parisiens d’origine, ces frères jumeaux se sont installés en 1975, à l’âge de 20 ans, comme [I]«petits agriculteurs»[i] dans une ferme, à Epineau les Voves, dotée de quelques ha agricoles. Dans l’impossibilité de développer leur exploitation, ils décident un an plus tard, en autodidactes, de créer une école d’équitation [I]«à hauteur d’enfant»[i], un concept novateur à l’époque, avec l’objectif de démocratiser l’équitation. Ils acquièrent pour cela des poneys rustiques, pour mettre à disposition d’enfants habitant la ville ou la province, un maximum d’éléments leur permettant de découvrir le beau et le vrai, dans un environnement agréable, favorisant le contact avec la nature et les animaux.