Fête des vins de Chablis
«Cracher, c’est pécher… ! »
Oubliées les trombes d’eau de l’an passé. C’est sous un soleil radieux que s’est déroulée la 66e Fête des Vins de Chablis, placée cette année sous le signe de l’humour avec pour président le comédien Michel Boujenah et pour parrain, l’humoriste Christophe Alévêque, venu avec sa compagne, la comédienne Serena Reinaldi.
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Habitués les années antérieures à distiller leurs discours de «bons mots», la concurrence était rude cette fois-ci pour les politiques du département, venus en nombre ce dimanche matin à Chablis, devant une foule conquise par les trois invités.
Natif de Saône et Loire et vacciné au Pouilly-Fuissé, Christophe Alévêque n’en a pas moins dressé un vibrant hommage au chablis, manifestement un peu «fatigué» après le banquet de la veille : «où j’ai pu vérifier ce vieil adage : un verre c’est trop, deux verres, c’est pas assez !» Ironisant sur sa rencontre avec Guy Roux : «il m’a promis de me payer un verre un jour, mais il m’a pas dit quand !» Mêmes éloges dithyrambiques, de la part du président de cette 66e édition, Michel Boujenah, qui reconnaît «une attache psychologique avec les vins de Chablis». Marqué lui aussi par le banquet : «ça ressemble un peu à un marathon. Quand on lit le programme, on se dit qu’on n’arrivera jamais au bout ! Surtout qu’il y avait les plats et à droite, les vins qu’on allait boire avec ! Moi, j’ai du mal à goûter et à cracher. Cracher, c’est pécher… ! »
Natif de Saône et Loire et vacciné au Pouilly-Fuissé, Christophe Alévêque n’en a pas moins dressé un vibrant hommage au chablis, manifestement un peu «fatigué» après le banquet de la veille : «où j’ai pu vérifier ce vieil adage : un verre c’est trop, deux verres, c’est pas assez !» Ironisant sur sa rencontre avec Guy Roux : «il m’a promis de me payer un verre un jour, mais il m’a pas dit quand !» Mêmes éloges dithyrambiques, de la part du président de cette 66e édition, Michel Boujenah, qui reconnaît «une attache psychologique avec les vins de Chablis». Marqué lui aussi par le banquet : «ça ressemble un peu à un marathon. Quand on lit le programme, on se dit qu’on n’arrivera jamais au bout ! Surtout qu’il y avait les plats et à droite, les vins qu’on allait boire avec ! Moi, j’ai du mal à goûter et à cracher. Cracher, c’est pécher… ! »