54ème Foire de Saint-Léger Vauban
Une première sortie de l’année toujours appréciée
Le samedi 29 février, bon nombre d’agriculteurs étaient à Saint-Léger Vauban pour la 54e foire traditionnelle du village. Un événement important dans l’agriculture icaunaise, synonyme de première sortie, annonçant à l’origine l’arrivée du printemps. L’occasion de festoyer ensemble, en dégustant les bons produits du terroir bourguignon.
Il y a des événements qui ne se ratent pas. Des moments conviviaux, à passer en famille ou entre amis, autour d’un bon repas, avec des produits du terroir bourguignon. C’est ce qui caractérise la Foire de Saint-Léger Vauban, où la 54e édition a eu lieu le samedi 29 février. «C’est la première sortie après l’hiver», indique Bernadette Chatelain, présidente du comité de Foire de Saint-Léger Vauban, qui organise l’événement. « Les gens ne se sont pas vus depuis deux ou trois mois, alors ils sont contents de se retrouver, de passer un après-midi ensemble autour d’une table à discuter. C’est une fête qui est censée annoncer le printemps, même si cette année ce n’est pas vraiment le cas », sourit-elle.
Une exposition d’animaux d’élevage
Durant la journée, des animations ont eu lieu. Si la foire reste avant tout une exposition d’animaux d’élevage, une exposition de matériel agricole est également au programme, « ce qui lui donne un air de salon de l’agriculture », ajoute le comité de Foire. « Il y a aussi une mini-ferme, un repas sous la rotonde (le charolais est à l’honneur à travers ce repas élaboré par la boucherie Tarteret), une animation par les cors de chasse de Chablis, un caricaturiste (Sébastien Dieu), des jeux de fête foraine pour les enfants et des structures gonflables », continue Bernadette Chatelain.
Puis, à 17 heures, c’est la remise des prix aux éleveurs (voir encadré). Avant le repas lasagnes (cuisinés par le restaurant La Grange Rocheloise), suivi d’une soirée dansante.
Maintenir la vocation agricole
À l’origine, la Foire de Saint-Léger Vauban était faite à la sortie de l’hiver pour vendre des embouches. « Elle a un peu évolué depuis », assure Bernadette Chatelain. « C’est la dernière dans le secteur et on essaye de maintenir sa vocation agricole. On a peiné pendant quelques années à cause de l’IBR (rhinotrachéite infectieuse bovine) car il fallait des élevages indemnes IBR », explique la présidente du comité de Foire de Saint-Léger Vauban. « Je suis très contente, car cette année, on a eu près de cent bovins. On revient à ce qu’étaient nos foires d’avant, avec des élevages indemnes », conclut-elle.
Une exposition d’animaux d’élevage
Durant la journée, des animations ont eu lieu. Si la foire reste avant tout une exposition d’animaux d’élevage, une exposition de matériel agricole est également au programme, « ce qui lui donne un air de salon de l’agriculture », ajoute le comité de Foire. « Il y a aussi une mini-ferme, un repas sous la rotonde (le charolais est à l’honneur à travers ce repas élaboré par la boucherie Tarteret), une animation par les cors de chasse de Chablis, un caricaturiste (Sébastien Dieu), des jeux de fête foraine pour les enfants et des structures gonflables », continue Bernadette Chatelain.
Puis, à 17 heures, c’est la remise des prix aux éleveurs (voir encadré). Avant le repas lasagnes (cuisinés par le restaurant La Grange Rocheloise), suivi d’une soirée dansante.
Maintenir la vocation agricole
À l’origine, la Foire de Saint-Léger Vauban était faite à la sortie de l’hiver pour vendre des embouches. « Elle a un peu évolué depuis », assure Bernadette Chatelain. « C’est la dernière dans le secteur et on essaye de maintenir sa vocation agricole. On a peiné pendant quelques années à cause de l’IBR (rhinotrachéite infectieuse bovine) car il fallait des élevages indemnes IBR », explique la présidente du comité de Foire de Saint-Léger Vauban. « Je suis très contente, car cette année, on a eu près de cent bovins. On revient à ce qu’étaient nos foires d’avant, avec des élevages indemnes », conclut-elle.
Le palmarès du concours bovin
Jean-Marc Colombier, le Gaec des Bruyères, Laurent Soupault et Anthony Amand ont remportés les premiers prix en vaches, génisses et laitonnes. Le premier prix broutards a été attribué à l’Earl des platanes, le premier prix taurillons à Gisèle Robe. Laurent Mandron a obtenu le premier prix du meilleur jeune reproducteur et le Gaec Carré le premier prix taureau adulte. Le prix d’ensemble taureaux est attribué au Gaec Baulot de Semur-en-Auxois. Le prix d’élevage revient à l’Earl des platanes. Le prix d’ensemble à Anthony Amand. Et le challenge (plus grand nombre d’animaux présentés) à l’Earl des platanes de Joux-la-Ville avec 17 animaux présentés.
