110 Bourgogne
Une politique de recyclage de tous les déchets
A l’instar de la démarche mise en place avec les adhérents, la coopérative 110 Bourgogne s’est fixée pour objectif de valoriser l’ensemble des déchets générés par les activités du groupe.
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Dans le cadre de sa démarche de recyclage de 100 % des déchets, la coopérative a collecté en 2014 pas moins de 130 tonnes de plastiques auprès de ses adhérents. Big Bags, sacs, bâches et autres bidons vides, auront permis ainsi la fabrication de plus de 350 000 sacs poubelles de 110 litres, 12 400 m2 de plaques isolantes pour le bâtiment et 11 km de tubes pour l’industrie. Le dispositif est désormais élargi à l’ensemble des activités de 110 Bourgogne, que ce soit au siège de la coopérative à Monéteau, ou au sein des magasins Nati Vert (Gamm Vert), comme l’explique Christiane Belaubre, en charge de l’initiative : «il nous faut être cohérent avec l’image qu’on veut transmettre aux agriculteurs. On ne peut pas être porteur d’une éthique RSE (ndlr : Responsabilité Sociétale des Entreprises) auprès des adhérents, sans que la coopérative elle même montre l’exemple et fasse n’importe quoi…» Une politique de gestion globale des déchets qui, par delà le bénéfice sociétal et environnemental de la démarche, pourrait à l’avenir rendre accessible certains marchés exigeant de ses fournisseurs un tel engagement.
Une démarche globale
Les produits collectés et retraités sont multiples : coproduits issus du nettoyage et du traitement des céréales, emballages, cartons, plastiques, déchets verts, ampoules, huiles, pneus, etc. Avec pour résultat une véritable économie circulaire, puisque tous ces déchets sont recyclés et retrouvent ainsi une seconde vie, en grande partie, par le biais d’un prestataire auxerrois, au plus proche des activités de la coopérative. Des bennes céréalières ont été reconditionnées et relookées pour l’occasion : installées dans la majorité des magasins Nati vert et au siège de l’entreprise, elles regroupent au sein d’une même benne cartons et plastiques, ces derniers étant ensachés, pour un tri plus facile à l’arrivée. Dans le même esprit, des cartons de tri sont répartis dans les étages, aux portes des bureaux, pour collecter ampoules, cartouches d’encre, piles etc. Les déchets non encore recyclables, comme les polystyrènes ou plastiques de type polyester, étant collectés pour servir de source d’énergie. Une démarche payante, puisqu’après quelques mois de mise en pratique, pas moins de 24 tonnes de cartons et près de 5 t de plastiques ont ainsi pu être valorisés, générant une économie de plus de 7 700 €, qui viendront rejoindre les 40 000 € d’économie par an déjà réalisés au travers du recyclage des produits collectés auprès des adhérents.
La démarche engagée se veut globale et ne se limite pas à la seule récupération des déchets, passant notamment par un diagnostic et une optimisation des postes énergie et éclairage. Ou bien sociétale, comme le choix de s’adresser auprès d’une entreprise voisine faisant travailler des personnes en situation de handicap, que ce soit pour l’entretien des espaces verts et des locaux de la coopérative ou des vêtements de protection de ses salariés. Pour Christiane Belaubre, «la démarche représente une somme de petites choses, mais qui, mises à bout, sont considérables. Un effort individuel qui ne coûte rien, simplement de bonnes habitudes à prendre…»
Une démarche globale
Les produits collectés et retraités sont multiples : coproduits issus du nettoyage et du traitement des céréales, emballages, cartons, plastiques, déchets verts, ampoules, huiles, pneus, etc. Avec pour résultat une véritable économie circulaire, puisque tous ces déchets sont recyclés et retrouvent ainsi une seconde vie, en grande partie, par le biais d’un prestataire auxerrois, au plus proche des activités de la coopérative. Des bennes céréalières ont été reconditionnées et relookées pour l’occasion : installées dans la majorité des magasins Nati vert et au siège de l’entreprise, elles regroupent au sein d’une même benne cartons et plastiques, ces derniers étant ensachés, pour un tri plus facile à l’arrivée. Dans le même esprit, des cartons de tri sont répartis dans les étages, aux portes des bureaux, pour collecter ampoules, cartouches d’encre, piles etc. Les déchets non encore recyclables, comme les polystyrènes ou plastiques de type polyester, étant collectés pour servir de source d’énergie. Une démarche payante, puisqu’après quelques mois de mise en pratique, pas moins de 24 tonnes de cartons et près de 5 t de plastiques ont ainsi pu être valorisés, générant une économie de plus de 7 700 €, qui viendront rejoindre les 40 000 € d’économie par an déjà réalisés au travers du recyclage des produits collectés auprès des adhérents.
La démarche engagée se veut globale et ne se limite pas à la seule récupération des déchets, passant notamment par un diagnostic et une optimisation des postes énergie et éclairage. Ou bien sociétale, comme le choix de s’adresser auprès d’une entreprise voisine faisant travailler des personnes en situation de handicap, que ce soit pour l’entretien des espaces verts et des locaux de la coopérative ou des vêtements de protection de ses salariés. Pour Christiane Belaubre, «la démarche représente une somme de petites choses, mais qui, mises à bout, sont considérables. Un effort individuel qui ne coûte rien, simplement de bonnes habitudes à prendre…»