Rencontre
Une journée à la ferme pour Sasha
Travaux pratiques à la ferme, à Sainte-Sabine. Lors d’une première rencontre sur la ferme Côte d’Or à l’automne 2014, Jean-Pierre Godot a invité Sasha Mauron-Guichard, petite dijonnaise de 8 ans et demi, à venir passer une journée sur son exploitation. Découverte.

Tout a commencé sur la Ferme Côte d’Or, dans le cadre de la Foire de Dijon à l’automne 2014. Une petite fille très au fait déjà des questions d’élevage et de tout ce qui concernait les vaches, a étonné Jean-Pierre Godot. Ses questions particulièrement pointues sur l’alimentation des animaux et les naissances l’ont impressionné. «Bluffé» par l’aisance et les connaissances de la demoiselle en herbe, Jean-Pierre Godot a invité la fillette et son papa à venir passer une journée sur sa ferme à Sainte-Sabine.
Quelques mois plus tard, le 12 août c’est chose faite et Sasha Mauron-Guinchard (8 ans et demi) est venue passer une journée pleine de découvertes. Au programme : visite de la ferme, rencontre avec les vaches, les veaux, les moutons, les animaux de la basse-cours, les poneys, le chien futur gardien du troupeau... Une journée bien remplie entre deux balades à poney, mais il en faut plus pour désarçonner Sasha déjà bien au fait de tout ce qui fait l’environnement d’une vache. Pas question pour elle de confondre vache allaitante et vache laitière, au contraire de beaucoup d’adultes, elle sait parfaitement faire la différence. «Elle est incollable sur le sujet» apprécie Jean-Pierre Godot très impressionné par la «science» et l’aisance de cette petite fille avide de tout connaître.
Leçon de pointage
Pendant cette journée à la ferme chez son hôte à Sainte Sabine, elle a pu creuser le sujet et elle a même eu droit le matin à une leçon de pointage, à l’occasion du passage du pointeur. Si elle avoue «ne pas avoir toujours tout compris», le sens de la manœuvre ne lui a pas échappé. Cette visite n’était pas une «première» puisqu’elle avait déjà participé à une sortie dans le cadre de l’École en herbe à Francheville. Mais là c’est encore une autre dimension, une immersion dans le fonctionnement quotidien d’une exploitation, seulement entourée d’adultes qui se sont mis en quatre pour rendre cette journée inoubliable.
Ce n’est pas fréquent de rencontrer des petites citadines aussi à l’aise avec les questions d’élevage que devant les vaches et le taureau. D’ici la prochaine édition de la ferme Côte d’Or, il va falloir peaufiner le discours, car la fillette (qui aura alors 9 ans) aura certainement encore fait provision de questions aussi aiguisées que son esprit.
Quelques mois plus tard, le 12 août c’est chose faite et Sasha Mauron-Guinchard (8 ans et demi) est venue passer une journée pleine de découvertes. Au programme : visite de la ferme, rencontre avec les vaches, les veaux, les moutons, les animaux de la basse-cours, les poneys, le chien futur gardien du troupeau... Une journée bien remplie entre deux balades à poney, mais il en faut plus pour désarçonner Sasha déjà bien au fait de tout ce qui fait l’environnement d’une vache. Pas question pour elle de confondre vache allaitante et vache laitière, au contraire de beaucoup d’adultes, elle sait parfaitement faire la différence. «Elle est incollable sur le sujet» apprécie Jean-Pierre Godot très impressionné par la «science» et l’aisance de cette petite fille avide de tout connaître.
Leçon de pointage
Pendant cette journée à la ferme chez son hôte à Sainte Sabine, elle a pu creuser le sujet et elle a même eu droit le matin à une leçon de pointage, à l’occasion du passage du pointeur. Si elle avoue «ne pas avoir toujours tout compris», le sens de la manœuvre ne lui a pas échappé. Cette visite n’était pas une «première» puisqu’elle avait déjà participé à une sortie dans le cadre de l’École en herbe à Francheville. Mais là c’est encore une autre dimension, une immersion dans le fonctionnement quotidien d’une exploitation, seulement entourée d’adultes qui se sont mis en quatre pour rendre cette journée inoubliable.
Ce n’est pas fréquent de rencontrer des petites citadines aussi à l’aise avec les questions d’élevage que devant les vaches et le taureau. D’ici la prochaine édition de la ferme Côte d’Or, il va falloir peaufiner le discours, car la fillette (qui aura alors 9 ans) aura certainement encore fait provision de questions aussi aiguisées que son esprit.