Foire du Beau Marché
Une foire printanière à l’ambiance estivale
Soleil et public ont répondu présent pour la Foire du Beau Marché à Toucy, qui rencontre au fil des années, un succès populaire grandissant.
Héritière des foires du Moyen âge, la Foire du Beau marché à Toucy est animée par la passion de l’élevage. Pour preuve ces dizaines de chevaux faisant l’admiration du public chaque année. L’édition 2017 n’a pas échappé à la règle, avec pas moins de cinq races de trait présentes, sur les neuf existantes en France. Autre invité de marque salué par tous : le soleil et ses températures estivales ! Seule ombre au tableau : l’absence cette année, pour raisons sanitaires, de bovins et de la filière avicole.
Il y avait foule ce samedi matin, rue du Pâtis, pour la traditionnelle présentation des différentes races de chevaux de trait appelés à défiler l’après midi dans les rues de la commune. «De véritables chars d’assaut de près d’une tonne, à la force considérable, que l’on ne peut manier que par la compréhension et l’éducation. Ce n’est pas la force qui aide à travailler les chevaux, c’est la patience. Pour que le cheval donne son pied, cela peut prendre des années». Au micro, le président du Syndicat des éleveurs de chevaux de l’Yonne, Martial Doumeyrou, enchaîne anecdotes et explications. Auxois, percherons, ardennais, comtois et cobs normands, tous peignés et toilettés de prêt se livrent à la curiosité du public.
Au bord de l’étang, c’est un son venu du fond des âges qui retentit : le chant du marteau sur l’enclume. Ils sont une poignée de passionnés, à avoir créé ce «musée conservatoire des arts de la forge», à Saint-Sauveur-en-Puisaye. Un univers et une technique qui ont accompagné des siècles durant l’activité humaine, particulièrement en ce «pays de feu» qu’est la Puisaye. Ouvert du mardi au samedi, ainsi que le dimanche matin, le musée installé 7 bis place du marché à Saint-Sauveur, présente, outre des démonstrations de forge, un atelier avec ses outils restaurés, ainsi qu’une salle pédagogique et un conservatoire. Une belle idée de balade à la veille de ce mois de mai chargé de ponts et week-ends prolongés !
Il y avait foule ce samedi matin, rue du Pâtis, pour la traditionnelle présentation des différentes races de chevaux de trait appelés à défiler l’après midi dans les rues de la commune. «De véritables chars d’assaut de près d’une tonne, à la force considérable, que l’on ne peut manier que par la compréhension et l’éducation. Ce n’est pas la force qui aide à travailler les chevaux, c’est la patience. Pour que le cheval donne son pied, cela peut prendre des années». Au micro, le président du Syndicat des éleveurs de chevaux de l’Yonne, Martial Doumeyrou, enchaîne anecdotes et explications. Auxois, percherons, ardennais, comtois et cobs normands, tous peignés et toilettés de prêt se livrent à la curiosité du public.
Au bord de l’étang, c’est un son venu du fond des âges qui retentit : le chant du marteau sur l’enclume. Ils sont une poignée de passionnés, à avoir créé ce «musée conservatoire des arts de la forge», à Saint-Sauveur-en-Puisaye. Un univers et une technique qui ont accompagné des siècles durant l’activité humaine, particulièrement en ce «pays de feu» qu’est la Puisaye. Ouvert du mardi au samedi, ainsi que le dimanche matin, le musée installé 7 bis place du marché à Saint-Sauveur, présente, outre des démonstrations de forge, un atelier avec ses outils restaurés, ainsi qu’une salle pédagogique et un conservatoire. Une belle idée de balade à la veille de ce mois de mai chargé de ponts et week-ends prolongés !