Lycée la Brosse
Une filière qui recrute
Les étudiants de BTS Anabiotec*, qui ont reçu des élèves de 1ère S du lycée Jacques-Amyot, sont la preuve qu’il n’est nul besoin de s’expatrier à Dijon ou Paris pour suivre des études scientifiques après le Bac.
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Tout le monde ne sait pas encore qu’il est possible aujourd’hui de suivre des études scientifiques post bac sans avoir à quitter le département de l’Yonne. C’est dans ce cadre que les étudiants en filière Anabiotec du lycée la Brosse ont invité une classe de 1ère S du lycée Jacques-Amyot, pour une présentation de leur formation et la pratique d’exercices en laboratoire. Une façon, rappelle leur professeur, Bruno Vogrig, «de souligner que le lycée La Brosse n’est pas seulement à connotation agricole et que l’on en a encore trop souvent une vision assez réductrice…» Les 34 lycéens de «Jacquam» présents pour l’occasion, ont pu s’exercer à différentes manipulations en salle de TP de biophysique et au labo d’analyses sensorielle, notamment autour du thème de «la variabilité génétique et la mutation de l’ADN»…
Excusez du peu !
Plusieurs possibilités pour intégrer une filière Anabiotec à l’issue du cycle secondaire : soit être titulaire d’un Bac S, ou d’un Bac STC (Sciences et Techniques de Laboratoire), ou bien encore, d’un Bac STAV (Sciences et technologies de l’Agronomie et du Végétal) ou STSS (Sciences et Technologies de la Santé et du Social). Après, insiste Bruno Vogrig, «tout est question de motivation et de travail personnel» Autant de dispositions pouvant expliquer une sur-représentation féminine dans les effectifs chaque année : «en plus bien sur, d’un socle scientifique indispensable, il faut aussi à la fois être minutieux, avoir le souci de l’hygiène et aimer la rigueur» A l’issue de ce BTS sur deux ans, s’offre la possibilité pour les étudiants, de poursuivre leur cursus dans l’Yonne jusqu’au niveau Bac + 3, grâce à la licence professionnelle mise en place au sein de l’Université de Bourgogne à Auxerre.
Avec au sortir des études, de sérieuses opportunité pour dénicher un emploi, que ce soit en agroalimentaire, comme contrôleur qualité ou assistant qualité ou bien dans le domaine de la santé animale : «plusieurs labos ont embauché certains de nos lauréats, pour travailler notamment, autour de la prophylaxie contre la brucellose ou de la pathologie de la vache folle. D’autres font aujourd’hui de la recherche dans les labos de l’ANSES**, ou pratiquent des autopsies animales» Un domaine qui peut s’élargir à celui de la santé humaine, avec de nombreuses offres d’emploi à pourvoir également au sein de laboratoires d’analyse médicale. Autre atout supplémentaire pour la filière Anabiotec qui fête cette année ses 25 ans : un taux de réussite, qui dépasse chaque année les 90 % !
* Analyses agricoles, biologiques et bio technologiques
** Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail
Excusez du peu !
Plusieurs possibilités pour intégrer une filière Anabiotec à l’issue du cycle secondaire : soit être titulaire d’un Bac S, ou d’un Bac STC (Sciences et Techniques de Laboratoire), ou bien encore, d’un Bac STAV (Sciences et technologies de l’Agronomie et du Végétal) ou STSS (Sciences et Technologies de la Santé et du Social). Après, insiste Bruno Vogrig, «tout est question de motivation et de travail personnel» Autant de dispositions pouvant expliquer une sur-représentation féminine dans les effectifs chaque année : «en plus bien sur, d’un socle scientifique indispensable, il faut aussi à la fois être minutieux, avoir le souci de l’hygiène et aimer la rigueur» A l’issue de ce BTS sur deux ans, s’offre la possibilité pour les étudiants, de poursuivre leur cursus dans l’Yonne jusqu’au niveau Bac + 3, grâce à la licence professionnelle mise en place au sein de l’Université de Bourgogne à Auxerre.
Avec au sortir des études, de sérieuses opportunité pour dénicher un emploi, que ce soit en agroalimentaire, comme contrôleur qualité ou assistant qualité ou bien dans le domaine de la santé animale : «plusieurs labos ont embauché certains de nos lauréats, pour travailler notamment, autour de la prophylaxie contre la brucellose ou de la pathologie de la vache folle. D’autres font aujourd’hui de la recherche dans les labos de l’ANSES**, ou pratiquent des autopsies animales» Un domaine qui peut s’élargir à celui de la santé humaine, avec de nombreuses offres d’emploi à pourvoir également au sein de laboratoires d’analyse médicale. Autre atout supplémentaire pour la filière Anabiotec qui fête cette année ses 25 ans : un taux de réussite, qui dépasse chaque année les 90 % !
* Analyses agricoles, biologiques et bio technologiques
** Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail