Ovins
Une belle vente, comme d’habitude
L’AEMCCO organisait sa vente annuelle de béliers charollais, jeudi dernier à Arnay-le-Duc.

L’Association des éleveurs de moutons Charollais de Côte-d’Or (AEMCCO) proposait sa vente de béliers le 14 février sous le hall de l’agriculture d’Arnay-le-Duc. Quatre-vingt-dix-huit animaux étaient proposés par sept élevages du département : l’EARL Blin (Montagny-lès-Beaune), l’EARL Joubert (Coulmier-le-Sec), l’EARL Poillot-Boyer (Vandenesse-en-Auxois), le Gaec Gaudry (Marcheseuil), le Gaec Ferroux Frères (Savilly), le Gaec du Moulin de Jonchery (Diancey) et Thierry Maréchal (Viévy). Soixante-huit béliers ont été vendus au prix moyen de 505 euros.
La top-vente a été réalisée par un bélier du Gaec du Moulin de Jonchery, vendu 700 euros à Jocelyne Cherrier, de Saint-Martin-d’Estreaux dans le département de la Loire. La répartition des acheteurs a été sensiblement la même que les années précédentes avec 37 agneaux achetés par des groupements de producteurs (Cialyn, OBL, Limovin) et 31 par des particuliers venus de différents départements (Indre, Indre-et-Loire, Aube, Savoie, Loire...). Jean-Marie Guyot, président de l’AEMCCO, dressait un bilan positif de ce rendez-vous : «Le nombre de béliers vendus est quasiment le même qu’en 2018, le taux de vente est légèrement inférieur car les éleveurs avaient décidé de présenter un peu plus d’animaux pour que les acheteurs aient davantage de choix».
La top-vente a été réalisée par un bélier du Gaec du Moulin de Jonchery, vendu 700 euros à Jocelyne Cherrier, de Saint-Martin-d’Estreaux dans le département de la Loire. La répartition des acheteurs a été sensiblement la même que les années précédentes avec 37 agneaux achetés par des groupements de producteurs (Cialyn, OBL, Limovin) et 31 par des particuliers venus de différents départements (Indre, Indre-et-Loire, Aube, Savoie, Loire...). Jean-Marie Guyot, président de l’AEMCCO, dressait un bilan positif de ce rendez-vous : «Le nombre de béliers vendus est quasiment le même qu’en 2018, le taux de vente est légèrement inférieur car les éleveurs avaient décidé de présenter un peu plus d’animaux pour que les acheteurs aient davantage de choix».
Un rendez-vous apprécié
Amandine Fénéon Dutrion, jeune éleveuse de 25 ans installée à Azé en Saône-et-Loire, participait pour la deuxième année consécutive à la vente arnétoise : «J’ai appris qu’une vente se tenait ici en échangeant avec plusieurs membres de l’OS Mouton Charollais. En 2018, j’étais repartie avec un antenais du Gaec Gaudry, j’en ai été très contente et je suis revenue aujourd’hui. Pour mon troupeau de 170 brebis inscrites, je recherche des mères très laitières, de la croissance sur les agneaux, avec un bon développement et de la viande. Il n’est pas toujours facile d’obtenir tous ces critères mais certains animaux offrent parfois de très bons compromis. La vente d’Arnay est plus petite que celle de Charolles, que je connais bien, mais le principe est similaire et la qualité des animaux est au rendez-vous».