Union charolais croissance
Une belle vente aux enchères
Mercredi 4 septembre, une vente aux enchères de génisses a été organisée par l’UCC, à Charmoy. Les douze génisses mises en vente ont trouvé preneur, avec un record pour Ori, une femelle homozygote sans cornes, vendue pour 7 100 €.

« C’est une bonne réussite », indique Séverine Breton, directrice de l’UCC (Union charolais croissance). «Les animaux étaient de qualité. Les éleveurs et les acheteurs sont venus nombreux, il y a eu un bel engouement pour les enchères».
Mercredi 4 septembre, une vente aux enchères de génisses était organisée par l’UCC, à Charmoy. Douze génisses (pleines, laitonnes ou de deux ans) étaient présentées, à 21 palettes. «Ce sont majoritairement des accouplements UCC car la particularité de l’UCC, c’est qu’il y a un schéma où tous les ans, les techniciens se rassemblent pour définir sept pères à taureaux, qui sont définis sur les plans d’accouplements», explique Laurent Bonin, président de l’UCC.
Une vente à 7100 €
Quant à la mise à prix ? «Pour les génisses pleines, elle est de 2 500 €. De 2 200 € pour les génisses de deux ans et de 2 000 € pour les génisses d’un an (laitonnes)», détaille Laurent Bonin. Au total, la moyenne des douze génisses vendues est de 3 254 €, avec une vente record : celle d’Ori, pour 7 100 €, à un éleveur de l’Orne. Une femelle homozygote sans corne, née le 10 octobre 2018, dans l’Ain, fille de Jubilo P par Viking PP.
Elle présente un bon développement musculaire, une ossature fine et des bonnes qualités de race, avec beaucoup de qualités maternelles.
Cette troisième édition de vente de génisses (initiée en 2015 pour les 30 ans de l’UCC) est donc une réussite. «Ce qui est bien c’est que ces ventes aux enchères sont une façon de montrer aux acheteurs de mâles que l’on peut travailler la lignée mâle comme la lignée femelle. Et qu’ils peuvent voir, avec ces femelles, les résultats que peuvent apporter les taureaux qu’ils veulent ou ont acheté. En somme, de belles journées autour de la génétique», conclut Séverine Breton.
Mercredi 4 septembre, une vente aux enchères de génisses était organisée par l’UCC, à Charmoy. Douze génisses (pleines, laitonnes ou de deux ans) étaient présentées, à 21 palettes. «Ce sont majoritairement des accouplements UCC car la particularité de l’UCC, c’est qu’il y a un schéma où tous les ans, les techniciens se rassemblent pour définir sept pères à taureaux, qui sont définis sur les plans d’accouplements», explique Laurent Bonin, président de l’UCC.
Une vente à 7100 €
Quant à la mise à prix ? «Pour les génisses pleines, elle est de 2 500 €. De 2 200 € pour les génisses de deux ans et de 2 000 € pour les génisses d’un an (laitonnes)», détaille Laurent Bonin. Au total, la moyenne des douze génisses vendues est de 3 254 €, avec une vente record : celle d’Ori, pour 7 100 €, à un éleveur de l’Orne. Une femelle homozygote sans corne, née le 10 octobre 2018, dans l’Ain, fille de Jubilo P par Viking PP.
Elle présente un bon développement musculaire, une ossature fine et des bonnes qualités de race, avec beaucoup de qualités maternelles.
Cette troisième édition de vente de génisses (initiée en 2015 pour les 30 ans de l’UCC) est donc une réussite. «Ce qui est bien c’est que ces ventes aux enchères sont une façon de montrer aux acheteurs de mâles que l’on peut travailler la lignée mâle comme la lignée femelle. Et qu’ils peuvent voir, avec ces femelles, les résultats que peuvent apporter les taureaux qu’ils veulent ou ont acheté. En somme, de belles journées autour de la génétique», conclut Séverine Breton.