MSA
Une année très animée
La cérémonie des voeux 2017 de la MSA Bourgogne s’est déroulée lundi 9 janvier à Dijon : l’occasion de revenir sur un exercice 2016 très chargé.
Dominique Bossong et Jean Boissière ont présenté leurs vœux de la nouvelle année au personnel MSA du site de Dijon. Le président a retracé l’année écoulée particulièrement animée, ponctuée d’événements imprévus et chargée par l’arrivée de nouvelles évolutions législatives.
Dominique Bossong a notamment cité la prime d’activité qui a généré un surcroit de travail, la montée en puissance de la DSN (avec le regret que le TESA élargi ne soit pas prêt à temps pour éviter aux petits employeurs d’être obligés d’avoir recours à un tiers déclarant) et la mise en place de la complémentaire santé obligatoire. Le président de la MSA est bien-sûr revenu sur la crise agricole «sans précédent» de 2016 : «Une fois encore la MSA Bourgogne n’a pas failli à sa mission d’accompagnement social de ses ressortissants victimes d’aléas climatiques ou économiques. L’ensemble des acteurs du monde agricole ont pris conscience de l’ampleur des difficultés et ont affiché leur volonté de travailler conjointement pour accompagner au mieux ceux qui sont les plus fragilisés. J’espère que ce fonctionnement se poursuivra en 2017». Le directeur général Jean Boissière, qui présentait ses derniers vœux avant de faire valoir ses droits à la retraite au cours de l’année, a également évoqué la crise agricoles en donnant plusieurs chiffres éloquents. Le nombre de demandes de RSA a progressé de plus de 8 % au cours de l’année, celui des bénéficiaires de la PPA est passé de 943 à la fin du premier trimestre à plus de 2 600 début décembre.
Plus de 30% des chefs d’exploitations ont déclaré un revenu 2015 inférieur à 4 248 euros, soit
350 euros par mois, et 620 d’entre eux ont demandé le report de leurs cotisations par manque de trésorerie.
Dominique Bossong a notamment cité la prime d’activité qui a généré un surcroit de travail, la montée en puissance de la DSN (avec le regret que le TESA élargi ne soit pas prêt à temps pour éviter aux petits employeurs d’être obligés d’avoir recours à un tiers déclarant) et la mise en place de la complémentaire santé obligatoire. Le président de la MSA est bien-sûr revenu sur la crise agricole «sans précédent» de 2016 : «Une fois encore la MSA Bourgogne n’a pas failli à sa mission d’accompagnement social de ses ressortissants victimes d’aléas climatiques ou économiques. L’ensemble des acteurs du monde agricole ont pris conscience de l’ampleur des difficultés et ont affiché leur volonté de travailler conjointement pour accompagner au mieux ceux qui sont les plus fragilisés. J’espère que ce fonctionnement se poursuivra en 2017». Le directeur général Jean Boissière, qui présentait ses derniers vœux avant de faire valoir ses droits à la retraite au cours de l’année, a également évoqué la crise agricoles en donnant plusieurs chiffres éloquents. Le nombre de demandes de RSA a progressé de plus de 8 % au cours de l’année, celui des bénéficiaires de la PPA est passé de 943 à la fin du premier trimestre à plus de 2 600 début décembre.
Plus de 30% des chefs d’exploitations ont déclaré un revenu 2015 inférieur à 4 248 euros, soit
350 euros par mois, et 620 d’entre eux ont demandé le report de leurs cotisations par manque de trésorerie.