Équipement de maraîchage
Un tracteur d’un nouveau genre
La Chambre d’agriculture a organisé mercredi 24 juin une démonstration d’un tracteur électrique à destination des maraîchers du département. Une matinée initiée par la conseillère maraîchage Judith Nagopaé. L’exploitation d’Aurélie Jacquot, maraîchère bio à Rouy a servi de cadre à cette initiation.

C’est un tracteur d’un nouveau genre qui a été présenté la semaine dernière sur l’exploitation d’Aurélie Jacquot, maraîchère bio à Rouy. Son nom : «Le tracteur électrique ALPO».
Cet engin a été conçu par la société Sabi Agri dirigée par Alexandre Prévault. Cet ingénieur mécatronicien, alors installé en maraîchage, a décidé de créer un tracteur qui serait à la fois rentable et écologique, tout en préservant l’Homme et la nature.
C’est de cette idée qu’est née en 2017, l’entreprise Sabi Agri. «L’idée du tracteur est d’en faire un outil polyvalent qui peut s’adapter à vos besoins. Il s’adresse aux maraîchers diversifiés avec 40 ou 50 cultures différentes ou ceux qui ont de plus grandes surfaces et qui souhaitent en faire un outil spécialisé. Il possède un relevage à l’avant et à l’arrière et plusieurs options sont envisageables pour répondre au mieux aux besoins du client» explique Ludovic Demars, Technico-commercial chez Sabi Agri.
Le modèle présenté ce 24 juin est un 25 chevaux électriques et comporte une autonomie de 8 heures sur du travail du sol et la charge peut-être récupérée en 1 h 30.
Il se conduit à l’aide d’un joystick pour faciliter la maniabilité. «Nous pouvons proposer différents relevages. Techniquement, nous avons 500 kg de capacité à l’arrière et 250 kg à l’avant. De plus, les coûts de fonctionnement du tracteur Alpo sont de 8 à 10 fois inférieurs à un tracteur thermique. Ce qui vous revient à 25 à 50 centimes de l’heure d’utilisation contre 3 euros/heure pour un engin classique» ajoute Ludovic Demars. Pour un tracteur de ce type, compter 35 000 euros l’entrée de gamme.
Les maraîchers présents à cette démonstration semblaient agréablement surpris par les possibilités offertes par ce tracteur électrique. Ils se sont succédés tour à tour pour tester l’engin.
Contact : Judith Nagopaé : 06 85 04 15 03.
Ludovic Demars : 06 62 43 70 63
Cet engin a été conçu par la société Sabi Agri dirigée par Alexandre Prévault. Cet ingénieur mécatronicien, alors installé en maraîchage, a décidé de créer un tracteur qui serait à la fois rentable et écologique, tout en préservant l’Homme et la nature.
C’est de cette idée qu’est née en 2017, l’entreprise Sabi Agri. «L’idée du tracteur est d’en faire un outil polyvalent qui peut s’adapter à vos besoins. Il s’adresse aux maraîchers diversifiés avec 40 ou 50 cultures différentes ou ceux qui ont de plus grandes surfaces et qui souhaitent en faire un outil spécialisé. Il possède un relevage à l’avant et à l’arrière et plusieurs options sont envisageables pour répondre au mieux aux besoins du client» explique Ludovic Demars, Technico-commercial chez Sabi Agri.
Le modèle présenté ce 24 juin est un 25 chevaux électriques et comporte une autonomie de 8 heures sur du travail du sol et la charge peut-être récupérée en 1 h 30.
Il se conduit à l’aide d’un joystick pour faciliter la maniabilité. «Nous pouvons proposer différents relevages. Techniquement, nous avons 500 kg de capacité à l’arrière et 250 kg à l’avant. De plus, les coûts de fonctionnement du tracteur Alpo sont de 8 à 10 fois inférieurs à un tracteur thermique. Ce qui vous revient à 25 à 50 centimes de l’heure d’utilisation contre 3 euros/heure pour un engin classique» ajoute Ludovic Demars. Pour un tracteur de ce type, compter 35 000 euros l’entrée de gamme.
Les maraîchers présents à cette démonstration semblaient agréablement surpris par les possibilités offertes par ce tracteur électrique. Ils se sont succédés tour à tour pour tester l’engin.
Contact : Judith Nagopaé : 06 85 04 15 03.
Ludovic Demars : 06 62 43 70 63
L’avis de Judith Nagopaé, conseillère maraîchage à la Chambre d’agriculture
«Ce tracteur peut-être utile pour des maraîchers qui ont des grandes longueurs. L’outil demande un temps d’adaptation et de prise en main mais il est ensuite facile d’utilisation. Le régulateur est intéressant pour rester concentré sur son travail. Par ailleurs dans cette démonstration, la bineuse était positionnée en frontale ce qui permet de contrôler son rayon et son avancement. Enfin l’ergonomie de travail est l’un des avantages avec ce type de matériel. Il est utilisable pour des parcelles qui ont jusqu’à 35 % de pentes».