Magasins Gamm Vert
Un réseau de proximité à la ville comme à la campagne
Un nouveau magasin sous enseigne Gamm Vert vient d'ouvrir à Marcilly-sur-Tille. Un autre ouvrira bientôt à Quétigny. Le réseau s'agrandit, les magasins évoluent mais l'enseigne reste fortement adossée à une histoire et des valeurs qui font son succès.

Avec l'inauguration d'une nouvelle surface sous enseigne Gamm Vert à Marcilly sur Tille, le groupe Dijon Céréales, à travers sa filiale Natura'lisa, poursuit le développement de l'activité jardin et loisirs verts. C'est le dixième établissement d'un réseau sous franchise. L'enseigne Gamm Vert, avec près de 900 magasins en France s'affirme comme le N°1 du jardinage. Mais tout a commencé bien avant que le jardinage ne devienne l'une des activités préférées des Français.
A l'origine, le territoire rural était largement couvert par de nombreuses coopératives locales, dont le magasin professionnel approvisionnait les agriculteurs en vêtements, gants, chaussures de travail et produits de «première nécessité» professionnelle.
[INTER]Diversification et professionnalisation des métiers[inter]
[I]«Petit à petit»[i] se souvient Michel Debard, aujourd'hui responsable de la distribution hors agricole chez Dijon Céréales (enseignes Natura'Lis, Bourgogne Viti Services et Gamm Vert), [I]«l'évolution du paysage rural, les nouvelles attentes des habitants des villages et des bourgs, ont amené le développement de la partie jardin»[i]. La fermeture de nombreux petits commerces de proximité a également accéléré la diversification des produits dans les magasins de coopératives.
A la fin des années 1970, l'organisation a pris son essor et les coopératives locales se sont rapprochées et structurées en union. L'union a alors été sollicitée pour organiser le marché. C'est ainsi qu'elle a donné naissance à ces précurseurs des grandes jardineries qu'on été les Gamm Vert. [I]«Le concept de jardinerie est né de la diversification des magasins de coopératives, avec une orientation de plus en plus forte vers les achats plaisir»[i], rappelle Michel Debard [I]«et les Gamm Vert ont trouvé leur place dans le paysage de la distribution»[i].
Du Lisa (libre service agricole) au Gamm Vert, les métiers ont évolué, les activités se sont spécialisées, mais le réseau a su conserver une image professionnelle forte, liée à l'expertise agricole. La sélection de gammes reflète ce positionnement.
[INTER]L'esprit «coop»[inter]
Le concept très élaboré de «Jardinerie de proximité», c'est ce qui fait la différence avec les mammouths de la jardinerie. Le réseau cultive ainsi sa différence, «du jardin à l'assiette», mêlant le potager au ménager, les activités de loisirs, l'animalerie, les produits du terroir et le plaisir retrouvé de faire soi-même ses confitures,
ses conserves...
Côté personnel, «le recrutement est très diversifié, car ce qui compte c'est la motivation et la capacité à intégrer l'esprit Gamm Vert», témoigne Pascal Drouin, responsable de réseau. Les règles de base de l'accueil sont ici appliquées à la lettre. Il faut savoir dire [I]«Bonjour, Au revoir et Merci...»[i] et ne pas hésiter à donner un coup de main au client pour charger la voiture, insiste Pascal Drouin. Il faut aussi être capable d'apporter un conseil attentif et pointu à une clientèle souvent constituée d'amateurs éclairés. L'expérience du groupe en matière de conseil en agriculture trouve là matière à s'exprimer pour faciliter le contact et fidéliser la clientèle.
Relookés, modernisés, déployés à proximité de plus grands agglomérations, les Gamm Vert conservent l'esprit [I]«magasins de coop»[i]. L'intensité du maillage étant plus importante que la recherche du gigantisme. [I]«De 350 m2 à 5 500 m2, les mêmes règles s'imposent, en dépit de la multiplicité des formats et des tailles»[i] soutient Michel Debard, car ce que le réseau cultive avant tout, c'est la proximité avec la clientèle, qu'elle habite la ville ou la campagne.
A l'origine, le territoire rural était largement couvert par de nombreuses coopératives locales, dont le magasin professionnel approvisionnait les agriculteurs en vêtements, gants, chaussures de travail et produits de «première nécessité» professionnelle.
[INTER]Diversification et professionnalisation des métiers[inter]
[I]«Petit à petit»[i] se souvient Michel Debard, aujourd'hui responsable de la distribution hors agricole chez Dijon Céréales (enseignes Natura'Lis, Bourgogne Viti Services et Gamm Vert), [I]«l'évolution du paysage rural, les nouvelles attentes des habitants des villages et des bourgs, ont amené le développement de la partie jardin»[i]. La fermeture de nombreux petits commerces de proximité a également accéléré la diversification des produits dans les magasins de coopératives.
A la fin des années 1970, l'organisation a pris son essor et les coopératives locales se sont rapprochées et structurées en union. L'union a alors été sollicitée pour organiser le marché. C'est ainsi qu'elle a donné naissance à ces précurseurs des grandes jardineries qu'on été les Gamm Vert. [I]«Le concept de jardinerie est né de la diversification des magasins de coopératives, avec une orientation de plus en plus forte vers les achats plaisir»[i], rappelle Michel Debard [I]«et les Gamm Vert ont trouvé leur place dans le paysage de la distribution»[i].
Du Lisa (libre service agricole) au Gamm Vert, les métiers ont évolué, les activités se sont spécialisées, mais le réseau a su conserver une image professionnelle forte, liée à l'expertise agricole. La sélection de gammes reflète ce positionnement.
[INTER]L'esprit «coop»[inter]
Le concept très élaboré de «Jardinerie de proximité», c'est ce qui fait la différence avec les mammouths de la jardinerie. Le réseau cultive ainsi sa différence, «du jardin à l'assiette», mêlant le potager au ménager, les activités de loisirs, l'animalerie, les produits du terroir et le plaisir retrouvé de faire soi-même ses confitures,
ses conserves...
Côté personnel, «le recrutement est très diversifié, car ce qui compte c'est la motivation et la capacité à intégrer l'esprit Gamm Vert», témoigne Pascal Drouin, responsable de réseau. Les règles de base de l'accueil sont ici appliquées à la lettre. Il faut savoir dire [I]«Bonjour, Au revoir et Merci...»[i] et ne pas hésiter à donner un coup de main au client pour charger la voiture, insiste Pascal Drouin. Il faut aussi être capable d'apporter un conseil attentif et pointu à une clientèle souvent constituée d'amateurs éclairés. L'expérience du groupe en matière de conseil en agriculture trouve là matière à s'exprimer pour faciliter le contact et fidéliser la clientèle.
Relookés, modernisés, déployés à proximité de plus grands agglomérations, les Gamm Vert conservent l'esprit [I]«magasins de coop»[i]. L'intensité du maillage étant plus importante que la recherche du gigantisme. [I]«De 350 m2 à 5 500 m2, les mêmes règles s'imposent, en dépit de la multiplicité des formats et des tailles»[i] soutient Michel Debard, car ce que le réseau cultive avant tout, c'est la proximité avec la clientèle, qu'elle habite la ville ou la campagne.